« Certains hommes se disant trans nous mettent de la pression pour coucher avec eux. »
« (…) Je ne possède tout simplement pas la capacité d’être sexuellement attirée par des personnes qui sont biologiquement masculines,(…) »
« (…) Je ne possède tout simplement pas la capacité d’être sexuellement attirée par des personnes qui sont biologiquement masculines,(…) »
« (…) Les voix des lesbiennes ont été absentes de la plupart des discussions jusqu’à présent. Nous espérons que cet article important permettra d’amorcer de véritables échanges d’expériences et d’idées et de remettre en question le dogme de ceux qui nient la réalité du sexe biologique, dont peu ont l’expérience d’être trans-identifiés. (…) »
Ce livre est un acte, un acte politique dont la révolution est l’objectif. Il n’a pas d’autre fonction. Ce n’est pas une quelconque sagesse cérébrale ou une foutaise universitaire, ou des idées gravées dans le granit ou destinées à l’immortalité. Il fait partie d’un processus et son contexte est le changement. Il fait partie d’un…
« On qualifie d’anti-sexe les critiques du viol, de la pornographie et de la prostitution, sans nuance ni examen, peut-être parce que tant d’hommes utilisent ces ignobles voies d’accès et de domination pour baiser et que, sans elles, le nombre de coïts chuterait au point où les hommes pourraient se retrouver quasi chastes. » Andrea Dworkin, Coïts
« (…) Il est inquiétant de constater que les clips que j’ai vus n’étaient que des « avant-goûts », des teasers conçus pour attirer les spectateurs vers des contenus plus extrêmes pour lesquels ils paient.(….) »
« (…) En comparant hier et aujourd’hui, Doolittle examine de nombreux aspects de la question « Qu’est-ce qui est équitable à l’ère du #MoiAussi ? ». Sa réponse à cette question est juste et louable.(…) »
« (…) L’objectif du féminisme doit être de mettre fin à la violence masculine, car tant que nous vivons dans la peur, nous ne pouvons pas réaliser notre potentiel. Les jeunes femmes doivent se voir offrir l’espoir que, de leur vivant, les rues et les maisons deviendront sûres pour elles. »
Plus tôt cette semaine, une jeune anglophone québécoise a publié sur Facebook un long compte rendu de son vécu auprès d’un agresseur, soi-disant progressiste. Vu le courage de cette femme et la pertinence à plusieurs égards de son récit, nous l’avons traduit ci-dessous. Il s’inscrit dans une dynamique propre à l’Amérique du Nord, dans le…
« (…) Même les meilleurs hommes de nos vies peuvent être des déclencheurs pendant ces périodes difficiles. Les femmes doivent pouvoir choisir des services ou des thérapeutes exclusivement féminins, sans avoir à expliquer pourquoi à qui que ce soit… Apprendre cette semaine que l’Edinburgh Rape Crisis Centre ne donne pas vraiment ce choix aux femmes et que son PDG va plus loin en suggérant que de telles demandes sont intolérantes, discriminatoires et doivent être remises en question a été un véritable coup de massue dans les tripes pour énormément de survivantes. (…) »
… malgré la persistance de ce problème, et malgré l’historique de mon propre traumatisme qui perdure, il est tout à fait possible de se rétablir, de s’épanouir et de vivre une vie merveilleuse. C’est ma mission et mon devoir, en tant que survivante et en tant que survivante ayant une voix, d’œuvrer à l’éradication des agressions sexuelles sur les enfants. Je ne cesserai que lorsque tout ça cessera. »