Le gouvernement espagnol abandonne les femmes prostituées

Ana Pollán: « Alors que ceux qui se disent politiciens sont très conscients du débat sur l’exploitation sexuelle mais affirment s’il serait excessivement punitif d’approuver une législation qui entrave la demande de prostitution, il y a des prostituées qui savent que ces hommes ferment les yeux sur la persécution infligée par leurs bourreaux. »

Misogynie d’État en Australie

Jasmine Sussex et Standing For Women Queensland (SFWQ) ont toutes deux été contactées par Twitter le 16 mai, la plateforme informant leurs deux comptes que le contenu spécifique qu’elles avaient posté serait censuré pour les utilisateur·ices australien·nes afin de se conformer à la loi australienne.

Honte et pornographie

« (…) La réalité est, bien sûr, que les jeunes femmes qui se lancent dans l’industrie du sexe ont tendance à être exploitées et recrachées rapidement, avec peu de résultats financiers à la clé, mais plutôt avec beaucoup de regrets, souvent des traumatismes et des problèmes de santé mentale supplémentaires. Le caractère éternel des images internet devient beaucoup plus bouleversant lorsque des vidéos de vous dans votre état le plus vulnérable sont diffusées à vie. (…) »

Il ne peut JAMAIS devenir acceptable que la police traite des délinquants sexuels avérés de la même manière que des voleurs de vélos, écrit JULIE BINDEL, après que 1 000 d’entre tels violeurs ont échappé à un casier judiciaire simplement en s’excusant auprès de leurs victimes.

JULIE BINDEL: « Contrairement aux avertissements ou aux condamnations, les résolutions communautaires ne constituent pas un casier judiciaire et ne sont pas enregistrées dans l’ordinateur national de la police. Cela signifie que des milliers de délinquants sexuels demeurent en liberté.

L’ironie de cette mascarade réside dans le fait que les résolutions communautaires ne peuvent être prononcées que si le délinquant a reconnu son crime – en partie, du moins. »

Extrait commenté de l’essai « Le pouvoir masculin de la dénomination », de Jane Clare Jones

Jane Clare Jones: « Ce que le militantisme trans demande fondamentalement [ce que la conscience patriarcale tout court exige et impose, depuis le néolithique] c’est que les femmes acceptent l’effacement de leur existence intrinsèque devant la projection patriarcale de [l’idée de] « Femme », afin que cette projection soit appropriable par les hommes, pour satisfaire leurs intérêts et leurs désirs. »

La Dre Judith Herman, psychiatre et pionnière de la recherche sur les traumatismes, a vu sa carrière mise en veilleuse pendant deux décennies, alors qu’elle a dû faire face à ses propres douleurs chroniques et à plusieurs opérations chirurgicales après un accident.

« (…) À 81 ans, Judith Herman souffre des maux et des douleurs de la vieillesse, mais ne peut se départir du sentiment de renaître. Dans les mouvements Black Lives Matter et #MeToo, et dans les résidents psychiatriques qu’elle supervise, elle voit un retour à la politique qui l’a façonnée en tant que jeune médecin. »

Errements de l’adoption internationale 

Kajsa Ekis Ekman: « (…) Les scandales, passés et à venir, comme la mobilisation d’associations féministes, pourraient avoir raison de ce nouveau « marché » de la GPA, comme ils ont fini par faire dépérir l’adoption internationale. »