Les violences « woke » faites aux femmes

« (…) Tout cela nous semble si familier, mais nous sommes censées croire que cette rage — une rage très masculine — est d’un type tout à fait différent de celle du passé.

Nous sommes censées penser que cette fois-ci, elle est l’œuvre d’une bonne intention, parce que ces femmes particulières, les TERFs, sont mauvaises. Même si le même groupe (les hommes) exprime sa colère parce que le même autre groupe (les femmes) fait les mêmes choses (s’organiser politiquement entre elles, parler sans leur permission, dire « non »), cette fois-ci, la colère est progressiste. (…) »

Un projet de recherche sur les athlètes transgenres est rejeté après que le professeur candidat ait qualifié d’hommes les transfemmes, c’est-à-dire les hommes s’identifiant comme femmes.

« (…) Le prof. Armstrong a déclaré au Telegraph : « Ils semblent essayer de m’empêcher d’utiliser le concept de sexe. Je ne me trompe pas de sexe, j’utilise simplement les termes homme et femme avec précision.
« On m’empêche de mener des recherches et cela a un impact sur ma liberté académique. (…) »

La Norvège fait un pas en avant pour mettre fin à l’ « expérience » de la médecine du genre chez les jeunes (GENSPECT)

« (…) Un groupe de cinq professionnels vient de publier un article d’opinion dans le journal Aftenposten, tirant la sonnette d’alarme sur le manque de preuves justifiant les traitements recommandés dans l’édition 2020 de ce guide. « Les nouvelles lignes directrices donnent l’impression que les traitements hormonaux et chirurgicaux d’affirmation du sexe ont fait leurs preuves. Ce n’est pas le cas. Ces méthodes de traitement, qui ont des conséquences irréversibles et importantes, reposent sur une base de connaissances insuffisante », ont-ils déclaré au journal. (…) »

Comment les jeunes femmes se rendent complices du patriarcat qui transforme les femmes d’âge moyen en « harpies » à ignorer et à rabaisser

« (…) J’ai lu cette semaine le nouveau livre de Victoria Smith, Hags : The Demonisation of Middle-aged Women (Harpies : La diabolisation des femmes d’âge moyen), et cette lecture m’a rappelé que j’étais moi-même passée de ce que Smith décrit comme le statut des « trois F » (la féminité, la fécondité et la fuckability) à celui d’un vieux pruneau desséché. (…) »