L’éducation sexuelle a fait de la dysphorie de genre la nouvelle anorexie des filles, déclare la mère britannique d’une ancienne élève, aujourd’hui transgenre.

Ce parent pense que la décision de son enfant de se déclarer transgenre pendant la pandémie a été influencée par des cours donnés à son école. Par Louisa Clarence-Smith, rédactrice en chef de la rubrique Éducation 18 mars 2023 , The Telegraph « Je n’avais aucune idée de ce qu’était l’identité de genre », déclare la mère…

« (…) Frapper quelqu’un, c’est frapper quelqu’un, mais si vous frappez une femme prostituée, ce n’est plus frapper. La loi qui punit le fait de battre son prochain n’est plus appliquée. C’est une des façons les plus cruelles de traiter les personnes prostituées. Vous auriez été mieux traitée à l’époque victorienne(…) »

L’ennemi ultime, c’est la femme – incursion dans le monde terrifiant des « incels »

« Kaitlyn Regehr, professeure associée en humanités numériques à l’University College de Londres, nous a dit que « la terminologie et la culture incel » deviennent « beaucoup plus populaires » – et cela crée une « misogynie plus généralisée ». Elle parle d’une normalisation qui signifie que le contenu extrême des forums se déplace « des écrans vers les rues ». »

IL N’Y A QUE DEUX SEXES, SANS AUCUN DOUTE 

« A 14 ans, beaucoup de filles sont malheureuses, c’est la puberté. Je suis passée par là. Moi aussi, j’étais malheureuse à 14 ans et j’aurais préféré être un garçon. A l’époque, je n’avais même pas le droit de porter un pantalon ou de me couper les cheveux. Je me maudissais souvent et je pensais : Je préférerais être un homme ! Car si l’on veut faire un tel métier, où les hommes dominent, on est bien sûr mieux loti si on en est un aussi. Mais alors il faut trouver un moyen de s’imposer. C’est bien cela qu’il faut conseiller aux filles et les aider à faire. »

Interview: « Pourquoi  j’intente un procès à l’organisme Survivors’ Network »

« Voir autant de femmes exprimer sur internet de l’empathie pour le possible sentiment d’exclusion de la personne transgenre plutôt que pour son propre traumatisme, c’est comme lorsque ses amies féminines refusèrent de croire que leur ami masculin l’avait violée parce qu’elles l’aimaient bien, dit Sarah. Tant de femmes se soucient plus des sentiments des hommes que des besoins des autres femmes. »

L’Espagne s’apprête à interdire l’achat de sexe

« (…) Ce que les gens ne voient pas, c’est que la légalisation et la normalisation de la prostitution ne réifient ni ne déshumanisent pas certaines femmes, mais toutes les femmes. Le fait que les hommes aient un accès [monétaire] au corps de certaines femmes renforce leurs agressions et leur humiliation d’autres femmes dans leur vie. (…) »