Ecriture et réalisation : Myriam Tonelotto et Marc Hansmann
Production : La bascule en coproduction avec la NDR – Arte et Images Plus
Année de production : 2005
Durée : 52 minutes
« « In Nomine Patris », au nom du père. Car c’est en usurpant le nom de la majorité des pères qu’une poignée de réactionnaires tente de mettre à mal les droits des femmes sous prétexte de défense de la paternité. Sont ainsi visés les principaux acquis féminins : droit au divorce, droit à la mobilité géographique et professionnelle, droit à l’avortement, droit à une juste protection contre la violence conjugale.
Organisés en réseaux, reliés via Internet, les masculinistes – c’est leur nom -, après avoir sévi aux Etats-Unis et au Canada, débarquent en Europe. le film IN NOMINE PATRIS s’attache à dévoiler leurs objectifs réels. A ces hommes aux discours trop vengeurs, trop facilement entendus par les grands médias et par les dirigeants, d’autres hommes répondent : pas en notre nom. »
Sur TRADFEM: https://scenesdelavisquotidien.com/tag/masculinistes/
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En tout cas c’est drôle on les a pas entendu les fameux sospapa (la version locale des « paternalistes ») et on les entends toujours pas quand les femmes doivent accoucher sous masque depuis le confinement, et qu’elles doivent gérer toutes seules dans beaucoup trop de maternités les premiers jours… (beaucoup de maternité ont refusé les accompagnants sous prétexte de covid, c’était marqué sur leurs sites), alors que si la mère est là, c’est pas la présence d’un proche déjà « proche » avant l’accouchement qui va changer grand-chose.
Là, bizarrement, pour gérer un bébé et soulager une compagne crevée voire traumatisée par des violences obstétricales, y a plus personne pour monter sur les grues.
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