Trois jours incognito au congrès de l’EPATH en Irlande
« Nous respectons la liberté d’expression de chacun, mais nous choisissons de ne pas écouter. » (Jo Motmans, président de l’EPATH)
« Nous respectons la liberté d’expression de chacun, mais nous choisissons de ne pas écouter. » (Jo Motmans, président de l’EPATH)
« (…) toute la ville promeut « la prostitution à l’échelle industrielle », affirme Anja, une ancienne prostituée. « Le gouvernement veut éloigner les femmes pour satisfaire les habitants, mais il ne fait que déplacer le problème. Et tant que les femmes seront là, les touristes sexuels continueront à affluer. »
« L’administration municipale collectera des impôts mais, si l’on se fie à l’histoire, les femmes vivant à l’intérieur de ce « méga-bordel » n’en sortiront pas avec grand-chose, et ce si elles en sortent. »
« (…) Il est grotesque de réécrire ce qui s’est passé dans le cadre du scandale des « bandes de proxénètes », en affirmant par exemple que « les féministes de gauche n’ont fait que protéger les agresseurs » et que « Tommy Robinson est un héros qui a tout révélé ». Quiconque promeut de telles faussetés porte gravement préjudice aux victimes passées et présentes, et glorifie le fascisme et le racisme. » (Julie BINDEL)
« De 2017 à 2018, j’ai été emprisonnée au pénitencier de Grand Valley. Là-bas, j’ai été témoin d’innombrables injustices, et aucune n’a été plus préoccupante que le transfèrement d’hommes biologiques dans nos unités. » (Heather Mason)
« Lorsque j’ai réalisé que je devais être logée avec deux hommes, j’ai ressenti une panique totale, c’était comme une vague de peur qui me submergeait – puis j’ai découvert que l’un était un meurtrier et que l’autre avait un passif de violence contre des femmes. » (Amanda Benson)
« Mais si certains des projets de loi de Wiener visent à protéger les jeunes LGBTQ, ils représentent aussi une occasion en or pour un autre groupe : les adultes qui en profiteraient. » (Abigail Shrier)
Des transactivistes viennent d’interrompre et de faire annuler une conférence d’un défenseur britannique de longue date des droits des gais, lesbiennes et bisexuel-les à l’Université McGill.
Leur credo est « No Debate ».
« (…) Frapper quelqu’un, c’est frapper quelqu’un, mais si vous frappez une femme prostituée, ce n’est plus frapper. La loi qui punit le fait de battre son prochain n’est plus appliquée. C’est une des façons les plus cruelles de traiter les personnes prostituées. Vous auriez été mieux traitée à l’époque victorienne(…) »
« Les groupes de transactivistes « menacent massivement » les femmes de violence, selon Marie, ce qui a pour effet de décourager les femmes de protester publiquement contre la puissante industrie du sexe allemande. »