Féminicides depuis un an au Québec
« Les féministes ont la désagréable habitude de compter les cadavres et de refuser de fermer les yeux sur leur sexe. » (Catharine A. Mackinnon)
« Les féministes ont la désagréable habitude de compter les cadavres et de refuser de fermer les yeux sur leur sexe. » (Catharine A. Mackinnon)
TRENTE-UN ANS APRÈS LE MASSACRE ANTIFÉMINISTE COMMIS À L’ÉCOLE POLYTECHNIQUE EN 1989… Il y a eu au moins 1171 FEMMES ET ENFANTS TUÉES PAR DES HOMMES EN TANT QU’HOMMES (OU PAR DES INCONNUS) AU QUÉBEC, DEPUIS LE 6 DÉC. 1989 Femmes (910) En italiques : Enfants et jeunes (261) Abdou Alain Keita, Ada Burns, Adam Khellaf, Adam Zembrowitz, Aïda…
Ecriture et réalisation : Myriam Tonelotto et Marc HansmannProduction : La bascule en coproduction avec la NDR – Arte et Images PlusAnnée de production : 2005Durée : 52 minutes « « In Nomine Patris », au nom du père. Car c’est en usurpant le nom de la majorité des pères qu’une poignée de réactionnaires tente de…
Femmes et enfants tuées par des hommes au Québec depuis un an Hugo, 7 ans, et Elise Pomares, 5 ans, tués à coups de poignard le 24 octobre par leur père Jonathan Pomares, 40 ans, cuisinier dans des écoles et en instance de divorce, à Tétreaultville. Il avait fait une tentative de suicide 11…
Martin Dufresne: « …Je voudrais croire que le patriarcat est en déclin, comme l’esclavage dans l’Occident (sauf pour les femmes abandonnées au système prostitutionnel), mais beaucoup d’indices pointent dans l’autre direction… »
TOULA DRIMONIS: « Je m’apprête à dire quelque chose qui va déplaire à bien des Québécois·es, présentement en adulation devant notre premier ministre. (…) »
par Toula Drimonis le 5 août 2019 Cette chronique a été publiée à l’origine sur le site de Cult Mtl, puis reprise en version française sur RICOCHET. Le déni ne sert à rien ni à personne. Il y a quelques semaines, deux vidéos ont atteint le stade viral au Québec. Dans l’une d’elles, un musulman…
Si les masculinistes tentent de présenter les hommes comme collectivement « en détresse », c’est pour faire oublier à quel point les femmes (et enfants) sont démesurément agressées en tant que telles, par autant d’hommes soucieux de préserver sur elles un contrôle social masculin, qui leur tient lieu d’identité.