Le legs d’Andrea Dworkin demeure vibrant
« Calomniée dans la vie et dans la mort comme anti-homme et anti-sexe, Andrea Dworkin considérait qu’écrire « pouvait remuer la terre et ressusciter les morts — du moins, les morts vivants ». Selon son amie, Catharine A. MacKinnon, c’est précisément ce qu’ont fait les écrits prolifiques de Dworkin.(…) »