Les transfemmes sont-elles des femmes?

par Ziggy M, sur Medium

L’affirmation selon laquelle les transfemmes sont des femmes (TF=F) et les transhommes sont des hommes exige que nous abandonnions la catégorie juridique et sociale actuelle de sexe et la remplacions dans tous les cas par une catégorie d’identité de genre innée auto-définie. Selon les transactivistes, ne pas penser que les trans-femmes sont des femmes est transphobe en soi, et est dénoncé comme une preuve flagrante de mauvaise foi.

Mais l’affirmation Les transfemmes sont des femmes est-elle ‘vraie’ ? Est-elle utile pour le progrès politique et social? Et, est-elle un signe de bienveillance?

Est-elle vraie?

Le fait de proposer de remplacer la définition de « femme » sur la base du sexe par une définition basée sur l’identité de genre, doit répondre à la question de savoir qui entre sous la coupe de cette nouvelle définition. Quelle est la limite de la notion de ‘femme’, si ce n’est que les femmes sont des personnes au corps féminin? Les mots sont spécifiques et excluent les autres définitions. La catégorie ‘femme’ exclut la catégorie ‘homme’. Or, la seule condition préalable pour être une transfemme est d’être de sexe masculin. Aucune femme ne peut devenir une transfemme. Ainsi, la transfemme est donc une sous-catégorie d’homme, et non pas une sous-catégorie de femme. Les humains ne peuvent pas changer de sexe, ils peuvent seulement devenir transgenres.

Qu’est-ce que le sexe?
Les humains sont des animaux dimorphes qui se reproduisent par voie sexuée, la femelle produisant les grandes gamètes et le mâle les petites. Cela reste vrai, même en cas d’éventuelles erreurs dans la reproduction de l’ADN, qui conduisent à des anomalies chromosomiques. L’idée que «le sexe est un spectre» n’est pas utile (ni correcte) pour deux raisons principales. Tout d’abord, le patriarcat ne fait pas de tests d’ADN pour déterminer qui violer, qui sous-payer, quels foetus avorter, ou à qui exiger du travail domestique ; il utilise plutôt la reconnaissance banale du sexe pour façonner tous ces choix. Et deuxièmement, les personnes trans ne prétendent pas avoir des particularités du développement sexuel (condition d’intersexe) ou des anomalies chromosomiques. Ils prétendent avoir une identité de genre innée (avec ou sans dysphorie de genre) qui est présumée correspondre en quelque sorte au sexe qui n’est pas le leur.

Qu’est-ce que le genre?
 « Le genre est le nom de l’ensemble du système qui maintient les femmes dans une position subordonnée en tant que classe sexuelle. » C’était la prémisse de base du féminisme, et je ne pense pas que nous l’ayons remplacée. La prémisse libérale de base selon laquelle les stéréotypes de genre sont nuisibles et il est acceptable pour les filles de grimper aux arbres et pour les garçons de jouer à la poupée semble avoir été oubliée. Pourquoi ?

La nouvelle définition du genre semble être quelque chose qui ressemble à une ‘âme sexuée’. Au lieu d’être vus comme des concepts à critiquer, les construits du ‘masculin’ ou du ‘féminin’ acquièrent un caractère de définition de qui devraient être tenus pour des hommes ou des femmes. Mon âme est féminine au regard des normes culturelles actuelles, donc je suis classée comme femme, mais j’ai un pénis donc ce doit être un pénis féminin. Pour moi, cette approche est plus régressive et moins libératrice que l’idée opposée: mon corps est féminin, et ma personnalité ou ma présentation sociale est masculine selon les normes culturelles actuelles, de sorte que, par exemple, une lesbienne butch est une variante normale du concept de femme.

Pourquoi est-ce important?

Ces questions de définition sont importantes pour deux raisons principales. Tout d’abord, considérer la ‘garçon manqué’, la femme butch et les lesbiennes comme normales aide toutes les filles et les femmes à s’accepter comme elles sont et à se sentir reconnues dans la société et la culture. Deuxièmement, utiliser le mot ‘femmes’ pour désigner notre sexe nous donne le langage, les définitions et le pouvoir de lutter contre notre oppression. Les femmes ne sont pas opprimées en raison de leur genre; au contraire, les attentes de genre imposées par la culture sont simplement les façons dont nous sommes opprimées. Se faire constamment dire que l’on doit être aimable et jolie, gentille et serviable est le moyen par lequel notre travail émotionnel et reproductif est exploité.

Est-elle politiquement utile ?

OK – donc l’axiome les transfemmes sont des femmes n’est peut-être pas ‘vrai » au sens biologique ou philosophique, mais pourrait-il être un moyen politiquement ou socialement utile de catégoriser les gens, afin de nous émanciper et de lutter pour nos droits, ceux des femmes et des trans? Les transfemmes vivent aussi de l’oppression ; pourquoi ne pouvons-pas toutes nous rassembler pour combattre le patriarcat ?

Combattre l’oppression 

Dans la lutte contre l’oppression, la catégorie dont nous avons besoin est celle qui regroupe les personnes opprimées. C’est l’oppression des femmes en tant que sexe, à travers les attentes genrées liées au sexe, que les féministes combattent. La base et la forme de l’oppression définissent la catégorie politique des mouvements de libération. Les groupes de défense des droits des Noirs sont là pour ceux qui vivent le racisme et non pas pour ceux qui ont un fort taux de mélatonine, comme les Blancs très bronzés. C’est l’homophobie qui rend nécessaire un mouvement pour les droits des homosexuels, et non pas l’attirance pour le même sexe en soi.

Une analyse matérialiste des relations sociales nous montre qu’à l’échelle mondiale, les femmes en tant que sexe sont encore une catégorie pour laquelle il importe beaucoup de se mobiliser. Elles souffrent de mutilations génitales féminines, d’infanticide de fœtus féminins, de mariages imposés et de grossesses non désirées, sur la base de leur biologie, et non pas de leur identité de genre.

Comme toutes et chacun, les personnes trans devraient avoir, et ont légalement, tous les droits humains (absence de discrimination, emploi, logement, soins de santé, représentation politique, etc.), et dans la Loi britannique sur l’égalité, elles sont également protégées contre la discrimination pour subir ou avoir subi une réassignation sexuelle.

Mais le transactivisme affirme également que les transfemmes (c.à-d. les hommes trans) ont besoin d’accéder à tous les espaces dédiés aux femmes (c’est-à-dire ceux protégés en tant qu’exceptions dans la Loi britannique sur l’égalité), de toute urgence et par principe. C’est pourquoi ce ne sont pas les droits des trans qui sont débattus ici, mais les droits des femmes.

Droits des femmes 

Nous avons des espaces séparés par sexe pour des raisons évidentes. Ces espaces ont fait l’objet de luttes afin d’obtenir une intimité, une protection et pour favoriser une participation équitable à la vie publique. Comme la grande majorité des crimes violents et sexuels sont commis par des hommes, des espaces réservés aux femmes ont été exigés.

Comme les hommes sont plus rapides et plus forts, des sports féminins ont été distingués pour garantir une compétition équitable.

Les prisons réservées aux femmes existent en partie en raison de la violence masculine et de la probabilité que des femmes aient été victimes de cette violence. Comme les femmes étaient politiquement sous-représentées, des listes paritaires et des comités distincts ont été créés. Comme les femmes sont moins bien payées, elles peuvent intenter des poursuites pour discrimination sexuelle. Ces conditions préalables existent toujours. Mais elles n’affectent pas les transfemmes.

La probabilité qu’une transfemme exerce des infractions violentes et sexuelles est proportionnelle à son sexe biologique, et non à son genre. Les taux de victimes de meurtre chez les personnes trans au Royaume-Uni et aux États-Unis s’avèrent en fait inférieurs à ceux de la population moyenne et beaucoup plus faibles que ceux des femmes. Si les transfemmes sont des femmes, les crimes des délinquants sexuels trans devraient être enregistrés comme étant perpétrés par des femmes, ce qui fausserait considérablement la collecte de données et les politiques qui en résultent. Si l’auto-identification est la base sur laquelle la rémunération est fixée au sein d’une entreprise, il n’y a aucun moyen de voir s’il existe un écart de rémunération entre les hommes et les femmes, ni en fait entre les personnes trans ou non trans.

Une transfemme a le droit de faire du sport, mais comme elle conserve un corps plus grand, des poumons plus volumineux et un rapport musculaire plus élevé après sa transition, son identité choisie ne signifie pas qu’elle devrait jouer contre les femmes, car sa transition ne change pas à prime abord la condition préalable à la séparation des sexes dans le sport.

Une transfemme a droit à un emploi, mais je ne pense pas qu’elle ait droit à un emploi dédié aux femmes, comme dans un centre d’aide aux victimes de viol. Les garçons ont droit à des activités telles que le camping, mais ils n’ont pas le droit de rejoindre les filles lorsque les meutes de scouts sont mixtes, et les raisons pour l’existence de groupes de plein air réservés aux filles existent toujours.

Si les transfemmes sont vraiment des femmes, cela doit être valable en toutes circonstances. Ces exemples montrent plutôt des situations où le principe TF=F contrevient à certains droits des femmes. Je ne pense donc pas qu’il y ait une base matérielle ou politique pour la proposition de supprimer la catégorie du sexe et de la remplacer par le genre auto-identifié.

Soins de santé 

Un autre exemple où il n’est pas opportun en pratique de différencier les gens par le genre plutôt que par le sexe est celui des soins de santé où le sexe de la personne est clairement important. Par exemple remplacer le mot ‘femmes’ par « personnes ayant un col utérin » dans une campagne de santé publique de prévention du cancer me semble un bon moyen de perdre de vue des femmes qui échappent déjà aux programmes de dépistage du cancer utérin, comme les personnes parlant d’autres langues. Le Covid nous a montré à quel point le sexe est important  pour comprendre tous les aspects de la santé d’une personne.

L’auto-identification fonctionne-t-elle comme la transsubstantiation?
Je ne pense pas que l’acte d’autodéclaration change littéralement et dans tous les cas la catégorie d’une personne de garçon à fille ou d’homme à femme. Est-ce que l’acte d’autoidentification fait des hommes des femmes comme une sorte de transsubstantiation? Le banquier britannique Pippa Bunce est-elle littéralement une femme de temps à autre quand il en décide ? Alex Drummond est-il littéralement une femme parce qu’il dit en être une? Est-ce que ces deux candidats démocrates de l’État de New York respectent le principe d’un homme – une femme pour lequel les suffragettes se sont battues ? Veronica Ivy (alias Rachel Mckinnon) est-elle littéralement une femme et devrait-elle concourir contre des femmes malgré le fait d’avoir un corps masculin?

Droits des personnes trans 

Les mouvements de libération trans peuvent se battre pour les trans sans prétendre que ceux-ci sont des femmes. Abordez les problèmes de la violence, de la représentation politique, de l’accès aux événements sportifs, de l’éducation et des droits en matière d’emploi en faisant campagne, en recueillant des fonds, en faisant du lobbying et en vous mobilisant sur ces questions, et nous vous soutiendrons toutes. L’idée d’espaces tiers ouvre d’énormes possibilités pour défendre les droits des trans dans divers domaines.

Les femmes n’ont pas gagné le droit de vote ou le droit à l’égalité salariale en prétendant être des hommes. Les droits des homosexuels n’ont pas été obtenus en prétendant être hétérosexuels. Les Noirs ne prétendent pas être blancs pour exiger les mêmes chances. Les droits des trans peuvent être gagnés sur leur propre terrain et selon leurs propres mérites sans prétendre être du sexe opposé. La réassignation de genre est une caractéristique protégée par la Loi sur l’égalité, tout comme le sexe, de sorte que les campagnes peuvent être menées soit au sein du mouvement soit en utilisant la loi, en l’absence de l’exigence que les trans-femmes sont littéralement des femmes.

Est-ce faire preuve de bienveillance ?

Même si cette assertion n’est pas vraie et qu’elle n’est pas utile pour garantir des droits complets pour tous, se peut-il que l’axiome les transfemmes sont des femmes soit un signe de bienveillance? Comme dans « les personnes trans souffrent, alors ne pouvez-vous pas être gentil avec elles et utiliser le bon langage? »

Cet argument est basé sur la prémisse que l’affirmation d’un genre choisi dans toutes les situations est la chose bienveillante à faire et que cela rendrait service aux personnes trans. Cependant, il n’y a pas de consensus parmi les transsexuels, les transgenres ou les personnes ayant détransitionné à propos de l’idée que le déni de leur sexe de naissance est psychologiquement utile.

Les êtres humains ne peuvent pas changer de sexe. La société est massivement genrée et elle l’est de manière répressive. Certaines personnes souffrent de dysphorie de genre aiguë et cela rend leur vie insupportable dans notre monde hyper-genré. Certains trouvent leur dysphorie quelque peu soulagée par la transition. Tout cela est vrai. Mais répéter les illusions que soit les humains peuvent changer de sexe, soit votre âme genrée est la caractéristique déterminante de ce qui fait de vous un homme ou une femme, n’aide ni les femmes, ni les gens qui souffrent de dysphorie de genre aiguë ni tous ceux et celles qui ne correspondent pas aux stéréotypes de genre.


Dysphorie de genre
 

De nombreux transsexuels plus âgés qui ont vécu une transition sont tout à fait conscients des compromis que leur vie implique et recommandent une extrême prudence face à la perspective d’adopter cette voie. La décision de devenir un patient médical à vie, d’accepter une fertilité et une fonction sexuelle compromises, de risquer des problèmes au niveau du squelette et du cancer ne doit pas être prise à la légère. Le sexe est déterminé dans toutes les cellules du corps. Il va sans dire que si la personne peut être aidée à vivre une vie saine sans médicaments ni chirurgie, alors c’est sûrement une meilleure solution. Bien que pour certains, la transition soit la bonne voie, il doit s’agir d’un dernier recours, étant entendu que le seul résultat possible après la transition est de ressembler à quelqu’un de l’autre sexe sans trop de dégâts pour la santé. Dire aux jeunes qu’ils et elles peuvent changer de sexe et faire taire les voix qui contestent cette idée n’aide pas du tout ces jeunes qui font des choix de vie cruciaux. Soutenir les jeunes atteints de dysphorie de genre et corporelle est un travail vital et sous-financé, et crier très fort que les garçons trans sont des garçons et que les filles trans sont des filles n’aide pas du tout.

Il existe des récits de profonde déception après l’euphorie suivant la transition, lorsque la personne se rend compte qu’il s’agit d’un voyage vers une destination qu’elle n’atteindra jamais. C’est peut-être la raison pour laquelle il n’a pas été démontré que la dépression et les idées suicidaires diminuent après la transition (contrairement à ce qu’affirme la propagande du lobby Mermaids). Il est également bien documenté que les jeunes qui s’engagent dans une transition ont une plus grande probabilité d’être autistes, d’avoir des problèmes de santé mentale ou des antécédents de violence ou de traumatisme subis. Il est irresponsable et pas du tout bienveillant de leur vendre un mythe plutôt que de parvenir à des solutions compatissantes basées sur l’honnêteté.

Une lettre publiée dans le British Medical Journal conclut que « Confirmer le dégoût de son sexe biologique ou de ses organes sexuels externes, en particulier pour ceux qui ont déjà été traumatisés dans l’enfance, risque la collusion médicale avec les agressions ou leur réactivation ». Dire à un enfant souffrant de dysphorie corporelle qu’il est effectivement né dans le mauvais corps n’a rien de bienveillant. « Si les enfants sont non-conformes au genre, nous devons nous méfier de traiter cette condition comme s’ils n’appartenaient pas à leur sexe natal, car le faire, c’est faire le jeu des stéréotypes de genre. » David Bell, 2021

Le parapluie trans 

Si l’on laisse de côté les personnes souffrant réellement de dysphorie aiguë de genre, il y a énormément de gens qui, comme nous tous dans une certaine mesure, ont réalisé que les stéréotypes de genre sont stupides, mal adaptés et contraignants. Jusqu’à ces dernières années, la solution radicale était d’essayer d’abolir les stéréotypes de genre pour tout le monde. Aujourd’hui, certains de ces individus ont embrassé l’identité trans, se considérant comme un sous-groupe particulier qui est seul ne pas y correspondre, et se dotent d’une soupe alphabétique toujours croissante d’identités sous le parapluie trans, par exemple le label ‘non binaire’.

Je n’ai aucun doute quant à la douleur réelle d’être un homme efféminé, ou une femme qui n’arrive pas à performer la féminité requise. Il me semble pourtant que les tâches les plus progressistes consistent à remettre en question la masculinité toxique et l’hyper-féminité, à rendre les espaces masculins plus sûrs pour les hommes non conformes au genre, à remettre en question les stéréotypes de genre masculins afin que les garçons et les hommes se sentent plus à l’aise en étant « féminins », à mettre fin à l’objectivation des filles et des femmes en tant qu’objets sexuels (attisée par la vaste industrie pornographique) et à mettre fin à la normalisation des agressions et du harcèlement sexuels.

De nombreux transsexuels, personnes ayant des différences de développement sexuel (conditions intersexe), détransitionnaires et ceux qui s’identifient comme transgenres sont eux-mêmes réduits au silence et intimidés lorsqu’ils et elles remettent en question la nouvelle orthodoxie et sont entraînés dans un combat dont ils ne veulent pas. On voit aussi un mouvement croissant de lesbiennes et de gais qui doivent une fois de plus faire valoir leur droit d’être attiré par les gens de leur sexe. Le fait que le lobby transactiviste Stonewall n’ait exprimé aucune inquiétude au sujet du rapport de l’émission Newsnight suggérant que la clinique du Gender Identity Development Service (GIDS) administre par homophobie des traitements médicaux à des enfants homosexuels, démontre leur peu de souci pour les droits des homosexuels. Ce ne sont pas les « personnes LGBT » que le lobby trans soutient, mais un dogme très spécifique.

Conclusion

Colporter le mythe selon lequel les transfemmes sont des femmes et les humains peuvent changer de sexe n’est ni vrai, ni utile, ni bienveillant. On peut revendiquer et obtenir les droits des personnes trans en fonction de leurs mérites, tout comme certains aspects des droits des femmes l’ont été par le passé.

Ziggy M (Health care professional. Feminist (not the fun kind). A wide rage of experience.)

Traduction : Néli Busch pour TRADFEM

Lire aussi: Ziggy_M: Women’s Rights in the Far Left : Are Feminists actually Neo-Fascists?

4 réflexions sur “Les transfemmes sont-elles des femmes?

  1. « Les droits des trans peuvent être gagnés sur leur propre terrain et selon leurs propres mérites sans prétendre être du sexe opposé. »
    Je ne vois pas ce que le mérite vient faire là. Les droits humains ne sont aucunement fondés sur un quelconque mérite mais sur légale dignité.
    Le problème de l’idéologie du genre est la déshumanisation des femmes au profit des hommes. En ce sens, les femmes perdent des droits humains.

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  2. Homos,heteros ce sont d’abord des bites ,ils ne se définissent que par cet engin.Si je veut communiquer avec des groupes lesbiens sur internet ,gay arrive en tête( de bite !) Ils vous la brandisse et l’impose,se poignent en long en large en travers grandeur nature. C’est le paradis des Bitars,l’exclusif au masculin GBTcul inclus. Et arrêtons avec la ritournelle imbécile « ils ne sont pas tous comme ÇAAAA !! » Tous ont une bite .

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