France : Une journaliste fait l’objet d’une plainte pour avoir « mégenré » deux personnes transidentitifiées

« Le site Femelliste a recueilli et archivé des preuves du harcèlement dont les femmes sont victimes si elles osent parler d’enjeux propres aux femmes. « FEMELLISTE est né du désir impérieux de lutter contre le harcèlement, la violence et la censure des femmes qualifiées de « TERFs ». » »

Born in the Right Body

(…) Le problème est que non seulement l’affirmation « les femmes trans sont des femmes » n’a aucun fondement scientifique ou logique — de un, les hommes et les femmes, les mâles et les femelles, sont des sexes biologiques immuables et de deux, les définitions circulaires n’ont aucun sens — mais elle efface également les hommes qui s’identifient comme des femmes. Seuls les hommes peuvent être des « femmes trans ». C’est une évidence en vertu du fait que subir un processus de « transition homme-vers-femme » est une qualité fondamentale qui définit le fait d’être une « femme trans ». Par conséquent, si vous n’avez jamais été un homme au départ, vous n’avez jamais été une « femme trans » non plus. (…) »

Repiqué du blog « Perspectives cubi(s)tes »

« L’idéologie de l’identité de genre postule que toute personne qui s’identifie au sexe opposé (ou à l’une des nombreuses nouvelles identités de genre (novel genders)) devrait automatiquement avoir un accès illimité à n’importe quel espace ou service non mixte de leur préférence. » (Audrey A)

Recension du livre Trans. Quand l’idéologie heurte la réalité

« (…) Comment en est-on venu à ne plus pouvoir qualifier de « femmes » les humains de sexe féminin ? Comment le ressenti en est-il venu à remplacer la biologie en tant que critère légitime permettant de distinguer les hommes des femmes ? Quels sont les impacts d’une telle redéfinition ? C’est à ces questions que répond de manière brillante la journaliste Helen Joyce dans son ouvrage Trans : Quand l’idéologie heurte la réalité. (…) (Joëlle QUÉRIN)

Classe, politique identitaire et idéologie transgenriste.

« En s’alignant de manière catastrophique sur ce qui est clairement un mouvement de nouveaux droits pour les hommes, la gauche a choisi de se ranger du côté des puissants plutôt que des moins puissants, des hommes plutôt que des femmes, et de la classe moyenne plutôt que des femmes de la classe ouvrière. » (Deirdre O’Neill)

Merci au site « Le Partage » pour cette traduction d’un essai de J.K. Rowling

« … je ne m’attendais pas à l’avalanche de lettres et d’emails qui me tomba dessus, dont l’écrasante majorité étaient positifs, reconnaissants et encourageants. Ils provenaient d’un ensemble très divers de personnes aimables, empathiques et intelligentes, dont certaines travaillent dans des domaines liés à la dysphorie de genre et aux personnes transgenres, toutes profondément préoccupées par la manière dont un concept sociopolitique influence la politique, la pratique médicale et la protection de l’enfance, par les nuisances potentielles que cela induit pour les jeunes et les homosexuels, par la manière dont cela participe à l’érosion des droits des femmes et des filles… »

Des détransitionnaires interpellent le Procureur général des USA :

Lettre ouverte adressée au procureur général Merrick Garland La protection médicale des enfants ne devrait pas être un enjeu politique. Chloe Cole, Cat Cattinson, Ritchie, Sinéad Watson, Prisha Mosley, Helena, et Grace Lidinsky-Smith Le 7 octobre 2022 The Honorable Merrick Garland Attorney General  U.S. Department of Justice  950 Pennsylvania Ave, N.W. Washington D.C. 20530  …

Pourquoi les écoles canadiennes autorisent-elles des hommes à faire la promotion en classe de leurs fétiches sexuels ?

« …des hommes fétichistes sont maintenant autorisés à dicter qui peut rédiger des tweets (et à quel sujet), quand et où les femmes peuvent conserver de la sécurité et de l’intimité (nulle part), qui doit être licencié·e s’il ou elle conteste n’importe quelle identité que s’arrogent des hommes, sur quelles bases les femmes doivent concourir dans le sport (des bases inéquitables!), et ce que les filles doivent accepter à l’école. »