Le viol tarifé

‘Dans un monde où les femmes et les filles seraient libérées de la suprématie masculine, où nous pourrions vivre en tant qu’êtres humains égaux, la prostitution serait privée d’oxygène. » (Julie Bindel)

Résurgence de l’abolitionnisme en Espagne

« (…) la socialiste Andrea Fernández a déclaré hier qu’elle « veut compter » sur le soutien du Parti Populaire, bien qu’elle ait lancé un « grand appel » pour conclure un pacte avec tous les autres groupes afin de parvenir à ce qu’elle considère comme le « début du chemin pour mettre fin à la prostitution ». Elle a averti que la prostitution était une « violence contre les femmes » et qu’elle était donc « incompatible » avec la démocratie. »

Les systèmes de prostitution dépénalisés sont un cancer qui s’est propagé à l’Union européenne et au Conseil de l’Europe

« La réalité de la prostitution pour la majorité des femmes prostituées n’est rien d’autre que de la violence. Nous parlons beaucoup de liberté de choix et de liberté sexuelle, mais ce n’est pas ce qu’on observe dans le monde de la prostitution. Les femmes et les filles prostituées se voient dépouillées de leur désir, de leur individualité et de leur humanité. » (Alyssa Ahrabare)

Oser dire la vérité sur la prostitution (une intervention de 1971)

par SUSAN BROWNMILLER Version originale tirée de cette revue: Susan Brownmiller est écrivaine, critique et membre active de l’association New York Radical Feminists[1]. Le texte suivant a été prononcé dans le cadre d’une journée d’audition devant une assemblée d’élus de l’État de New York, intitulé « La prostitution, un crime sans victime ». SUSAN BROWNMILLER : Messieurs,…

Prostitution…le monde à l’envers

« …il faut savoir que tout parti qui ne place pas l’abolition de la prostitution en tête de son programme est un collaborateur nécessaire au maintien de cette institution patriarcale brutale et peut être étiqueté, en conséquence logique, comme démodé, rétrograde et réactionnaire. »