Le transgenre n’existe pas.

EXTRAIT DU BLOGUE https://giantcomets.blogspot.com/2018/08/there-is-no-such-thing-as-trans.html?

Il n’y a pas de « trans ». On vous a menti. Chacun est libre de s’habiller comme il veut, d’utiliser les manières et les voix qui lui plaisent. Cependant, il n’est pas possible de passer d’un sexe à l’autre. Le « genre » demeure ce qu’il l’a toujours été : des stéréotypes d’apparence, des maniérismes et les rôles prescrits par la société pour chaque sexe, respectivement.

Tant mieux pour vous si vous êtes un homme qui se sent le plus à l’aise en portant une robe, en se peignant le visage, en ayant des ongles parfaits, quelles que soient les variations sur la « féminité » stéréotypée qui vous font vous sentir mieux. C’est bien qu’en tant qu’homme, vous vouliez briser tout le système du « genre », ou du moins le court-circuiter comme le faisaient David Bowie et Boy George. Portez ce que vous aimez, foutez-vous de ce que les gens disent, et amenez-les à réfléchir.

Mais voyez-vous quel est le problème ? Vous insistez pour affirmer que vous n’êtes aucunement un homme, mais une sorte de « femme ». Comme c’est déprimant – comme c’est manifestement incorrect – comme c’est lassant. En maintenant cette position – que personne ne croit vraiment, probablement même pas vous – vous nourrissez un sentiment de gaspillage. C’est comme si vous n’étiez peut-être pas assez intelligent pour saisir l’information la plus élémentaire : vous êtes un homme. Ou peut-être êtes-vous tout simplement trop dérangé. Personne ne le sait, mais toute cette mascarade devient rapidement fastidieuse pour tout le monde, sauf pour vous.

Parce que vous n’êtes pas du tout une femme. Avoir des sentiments sexy à propos de vêtements de femmes ne signifie pas que vous êtes une femme. Rêver et se languir d’être une femme ne fait pas de vous une femme. Et prendre des médicaments hormonaux, subir des opérations chirurgicales radicales – tout cela ne sert à rien. Vous ne serez tout simplement jamais une femme. Vous allez devoir bien comprendre ce message.

Et avant de commencer à dire que ça ne fait de mal à personne, que vous ne voulez que faire pipi, que c’est juste un jeu social, que vous êtes de gentilles « dames », allez, s’il vous plaît ? Vivez et laissez vivre, n’est-ce pas ? – Ça ne marche pas comme ça. Les choses étaient tolérables il y a 30 ou 40 ans, quand les bites en robes étaient extrêmement rares. Les femmes toléraient souvent leur présence dans les espaces dédiés aux femmes. Mais aujourd’hui, quelqu’un a laissé la porte de la grange ouverte, et tous les animaux de ferme mâles sont en rut, en furie. Des choses folles et horribles se produisent. En partie à cause de votre activisme et de votre agitation au sujet du « transgenrisme », des milliers de femmes et d’hommes croient bêtement être en réalité du sexe opposé, tout comme des milliers d’enfants.

Ces enfants se font donner des « bloqueurs de puberté » et ensuite des hormones sexuelles de l’autre sexe, qu’ils devront prendre toute leur vie. Des filles de 13 ans se font amputer les seins en Californie. Des garçons de 16 ans se font mutiler les organes génitaux jusqu’à ne laisser qu’un vulgaire orifice. Des organes sains du système reproductif des filles – ovaires, utérus, trompes de Fallope – sont également tranchés à cet âge. Ce n’est pas une blague ou une exagération : cela se fait vraiment. Cette dépravation impliquant des enfants doit prendre fin.

La vie des hommes et celle des femmes sont radicalement différentes les unes des autres, dès le plus jeune âge. Bien sûr, un imbécile ivre à 3 heures du matin peut vous interpeller d’une ruelle, alors que vous passez devant lui en toute confiance (et que cela vous excite secrètement) ou peut-être que votre patron masculin a récemment volé une de vos idées sans mentionner votre nom. De nombreux hommes qui exhibent un comportement « trans » affirment que de telles expériences leur permettent de « comprendre vraiment le vécu des femmes ».

Appeler cela une insulte dégoûtante envers les femmes ne fait qu’effleurer la surface du problème.

Votre jeu de rôle extrême met également les femmes et les filles en danger. Les hommes conservent le même taux de crimes violents que les autres hommes, même après avoir une mutilation de leurs organes génitaux. Les femmes qui se trouvent dans les vestiaires, les toilettes et autres espaces protégés ne peuvent pas simplement présumer que vous êtes une « gentille dame » – En Suède, le taux de crimes violents commis par des hommes qui font semblant d’être des femmes est 18 fois supérieur à celui des femmes.

Bizarrement, vous, les mecs, exigez que les mots « femme » et « femelle » soient remplacés dans tous les messages de santé concernant la grossesse et l’accouchement, les frottis, l’utérus, les ovaires, etc. – Remplacés, par exemple, par l’expression « personnes enceintes » – Même si seules les femmes, en fait seulement les femelles de toutes les espèces de mammifères, ont été enceintes au cours des 200 derniers millions d’années.

Pourquoi ? Parce que vous vous sentez « dysphorique » avec la rage de ne pas être encore des femmes, et de ne jamais le devenir. Et tout comme vous voulez remplacer ces mots, votre véritable objectif est d’exterminer et de remplacer les femmes par vos propres faux moi. Après tout, vous avez tellement souffert d’être « mégenré » toute votre vie – vous méritez tellement plus les merveilles de la féminité que de simples « femmes cis ». L’industrie « trans » continuera à vous proposer des simulacres de « parties du corps féminin » non fonctionnelles, si vous avez suffisamment de fric – oh attendez, j’oubliais : vous ferez couvrir ces ajouts par votre assurance santé. Ils pourront même prélever ces parties à même le corps des nombreuses jeunes femmes confuses qui pensent pouvoir se transformer en « hommes ». Et un jour, des médecins véreux feront pousser un fœtus quelque part et vous l’enfonceront dans l’abdomen pendant quelques minutes. Les plaisirs intenses de vos innombrables heures passées à regarder des vidéos d’autohypnose et de rumination « féminisantes » vous sembleront désormais démodés. Quelle débauche!

Comme des cliniciens l’ont observé régulièrement pendant des décennies, jusqu’à ce qu’il devienne « transphobe » de le faire, vous avez des problèmes de santé mentale. Pas de honte à cela – mais vous devriez recevoir le bon traitement. Les traitements trans, basé sur des fantasmes, de vœux pieux et de misogynie, ne font qu’aggraver votre état.

J’ai lu tout ce que vous appelez vos études scientifiques. Elles souffrent de grossière surinterprétation et de biais de sélection, de biais de confirmation, de biais d’attrition, de conflits d’intérêts et d’autres problèmes graves. Vous, les hommes trans, semblez également mourir beaucoup plus tôt, même si votre mortalité globale est similaire à celle des autres hommes. En effet, il n’y a aucune preuve crédible d’un bénéfice de ces fausses « transitions », pour qui que ce soit. Vous faites partie d’une grande et stupide expérience sociétale, tout comme des rats de laboratoire, et vous adorez ça. Toute cette entreprise et de la fraude.

Et malgré votre propre transgression massive et incalculable dans la vie des femmes, vous étiez assez enragé pour écrire dans votre article de Medium : Un autre homme a osé imiter les femmes – mais ses sentiments ne sont pas les bons. Il n’est pas « trans ».

Laissez tomber. Ne voyez-vous pas à quel point vous êtes devenu comique ? Tragiquement comique. Vous faites partie d’une secte. Il est temps pour vous et pour tous ces autres tenants d’une mascarade de penser à sortir des miasmes trompeurs de l’idéologie « trans ». Vous pouvez le faire. Je l’ai fait (j’ai été 13 ans à 100% dans ce mélange et je me croyais « heureux », jusqu’au jour où j’ai vu à travers les mensonges, et compris que je ne l’étais pas). Alors vous feriez mieux de ne pas perdre de temps.

(Source : « https://giantcomets.blogspot.com/2018/08/there-is-no-such

Traduction: TRADFEM

8 réflexions sur “Le transgenre n’existe pas.

  1. Malgré sa qualité et les arguments très convaincants que je trouve sur ce site, et que j’utilise souvent dans ma vie de militante féministe (merci pour ça), il est difficile de conseiller la lecture de ce site aux femmes qui s’intéressent au féminisme. Parce qu’il promeut des textes de Civitas.
    Même si les arguments sont bons, cette référence rend impossible de lui faire de la pub dans les milieux de gauche, qui pourtant besoin d’une pensée féministe radicale, surtout concernant les dangers pour les femmes de l’idéologie transgenre. C’est incohérent, de s’appuyer sur Dworkin un jour, et le lendemain sur Civitas.
    Quand on me demande des références pour approfondir des débats, je ne peux pas conseiller le site, qui est pourtant un des meilleurs que je connais, parce que le risque est trop grand que l’ensemble des idées soient écartées à cause de ça.
    Comment expliquer posément à nos sœurs féministes ou sympathisantes que l’idéologie transgenre est nocive pour nos droits, pour notre dignité, si on rameute une association extrémiste religieuse dans le même temps ?
    Bon courage, et merci pour le boulot de traduction, votre site m’a permis de découvrir des féministes très efficaces, mais à l’époque je n’avais pas été stoppée par des références d’intégristes catholiques, car je crois qu’il n’y en avais pas. C’est vraiment regrettable, car je sais que j’aurais découvert votre site plus tard, avec ce genre de référence je n’aurais pas eu confiance. Parce que c’est pas cohérent.

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  2. (Notez que ces deux articles sont disponibles en version française – il n’y a qu’à choisir ‘français’ dans Google Translate en haut de la page à gauche)

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