Victoria Smith: « (…) Les femmes n’ont pas seulement peur à cause des hommes vraiment méchants. Le problème est qu’il existe si peu d’hommes vraiment bons. Nos vies sont jonchées d’histoires que nous ne pouvons pas raconter, d’accusations que nous ne pouvons pas porter, parce que nous savons que les hommes bons vont serrer les rangs et que nous ne voulons pas assister à cela. (…) »
VICTORIA SMITH: « …Ce dont les femmes parlent lorsqu’elles racontent l’histoire de leur corps et partagent leur expérience de la nature féminine (femaleness) dans une multitude de contextes sociaux et politiques est déformé et présenté comme un récit fixe et excluant… »
Cette défense rigoureuse des femmes d’âge moyen, qui sont ignorées et vilipendées, est une lecture souvent douloureuse et une oeuvre classique en devenir. (Rachel Cooke)
« Ces deux ouvrages incisifs et stimulants explorent la manière dont la société traite les femmes infertiles – soit celles qui stoppent leur fertilité à l’aide d’hormones, soit celles qui ont la témérité de vieillir. » (Josephine Bartosch)
« (…) J’ai lu cette semaine le nouveau livre de Victoria Smith, Hags : The Demonisation of Middle-aged Women (Harpies : La diabolisation des femmes d’âge moyen), et cette lecture m’a rappelé que j’étais moi-même passée de ce que Smith décrit comme le statut des « trois F » (la féminité, la fécondité et la fuckability) à celui d’un vieux pruneau desséché. (…) »
« (…) Que peuvent nous apprendre ces aînées brillantes, intransigeantes et drôles ? Principalement que rien ne change. La femme d’âge mûr a toujours été ‘sans valeur mais dangereuse’. Les tropes anciens resurgissent sous de nouvelles insultes. (…) »
TRADFEM 