Barbara Kay: » Avant la révolution sexuelle, les filles savaient dire non, le faisaient et étaient respectées pour avoir dit non. Une fois que dire oui à ce qu’elles aimaient est devenu la norme, elles étaient sur une pente glissante. Si elles disaient oui ceci, qu’elles aimaient, pourquoi pas à cela, qu’elles n’aimaient pas mais que certains hommes aimaient ? «
« La chaîne de « spas de bien-être » de Jürgen Rudloff vendait du sexe comme un service de santé pour hommes. Mais son modèle d’entreprise était profondément déficient, comme l’a révélé son procès pour complicité de traite d’êtres humains. »
« Si l’homme n’arrive pas à éjaculer, c’est un drame ; mais combien de fois les femmes n’ont pas d’orgasme et que ce n’est pas grave. »
Notre amie Suzanne Zaccour a un chic projet pour les vacances des Fêtes! Elle entend analyser sous l’angle de la violence sexuelle notre traitement des animaux non humains. « Bitches don’t hurt« (Les chiennes ne souffrent pas) est un projet qui prend intelligemment le contre-pied d’une entreprise récente d’idéologues de droite qui ont exploité, entre autres, le…
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