« Parler librement et liberté de parole : Les féministes face à la ‘nouvelle’ droite ».
« L’ensemble de ces messages hostiles à l’égard des « autres » montre qu’il est nécessaire de prêter attention à la violence systémique et quotidienne liée au sexe, à la race et à la sexualité dans la société canadienne… Le fil conducteur de ces violences est l’idée que les institutions canadiennes – y compris les universités – sont devenues des lieux qui excluent activement et réduisent au silence les » hommes blancs « , pour reprendre la terminologie de Sara Ahmed (2014), et qu’une rétribution violente est justifiée en guise de réponse. »