La transphobie n’existe pas.
« La façon la plus simple de combattre l’idéologie transgenriste est de ne pas y accorder foi. » (Meghan Murphy)
« La façon la plus simple de combattre l’idéologie transgenriste est de ne pas y accorder foi. » (Meghan Murphy)
« Vous avez l’intuition que le discours transgenriste ne fait pas sens, vous sentez bien que quelque chose n’est pas logique dans ce discours, vous avez du mal à répondre face à la mauvaise foi de votre interlocuteurs.
Femelliste vous aide à y voir plus clair et à apporter des arguments dans un débat qui tourne en rond… »
« (…) Barnes documente un échec massif au niveau de l’institution et du leadership en matière de protection des droits des jeunes. Des employés subalternes n’ont pas osé affronter l’aveuglement de leurs gestionnaires. Certains des 10 000 enfants qui sont passés par le SDIG ont été aidés, c’est certain. Mais qu’en est-il des autres ? (…) »
(…) « Je parle de la folie de permettre à des enfants, dont certains ont de graves problèmes de santé mentale, de s’auto-diagnostiquer, et aux médecins, parents, thérapeutes, enseignants, conseillers d’orientation d’accepter automatiquement cet auto-diagnostic et les souhaits de l’enfant sur ce qu’il ou elle pense que l’on doit faire », a déclaré Mme Grossman. (…)
« (…) je ne peux pas imaginer un livre en 2023 sur les guerres de censure qui ne tiendrait pas compte de la question du transgenrisme. Je vais donc reprendre la thèse du livre pour traiter de ce débat controversé, dans l’esprit de ma propre analyse, bien sûr. (…) »
« Cela revient à dire au personnel que toute pensée critique à l’égard de cette idéologie est offensante. Cela crée à la fois un environnement hostile pour le personnel qui n’adhère pas à l’idéologie du genre, et rend impossible pour lui de parler clairement et honnêtement des prisonniers, lors de l’évaluation des risques qu’ils présentent, afin de protéger les autres personnes incarcérées. » (Maya Forstater)
par Lavy Shwan Le 24 avril 2022 – https://reduxx.info/opinion-refugee-from-liberal…/… En préparation d’une opération d’extraction de mes implants mammaires, j’ai trouvé du réconfort dans la littérature féministe radicale. J’étais loin de me douter qu’il s’agissait d’une étape qui me conduirait à être qualifiée de « transphobe » et à être excommuniée des seuls espaces que j’ai toujours connus.…
« La semaine dernière, des affiches sont apparues sur le campus de l’université du Sussex, demandant le renvoi de la professeure Kathleen Stock. Au milieu d’une ignoble collection d’insultes, ces placards la décrivaient comme « l’une des pires transphobes de cette île misérable (le Royaume-Uni), épousant une version abâtardie du féminisme radical » (…) »
« …sa question clé est toujours aussi brûlante depuis cent ans : pourquoi les femmes, le sexe opprimé depuis toujours, devraient-elles faire passer toutes les causes avant la leur ? »
« (…) Aucune des femmes critiques du genre auxquelles j’ai parlé ne déteste les transgenres, au contraire. Beaucoup d’entre elles commencèrent à s’intéresser à cette question parce qu’elles se souciaient des jeunes trans, et sont extrêmement compréhensives à l’égard des personnes trans adultes souhaitant simplement vivre leur vie, mais se trouvant confrontés à l’agressivité d’une forme d’activisme qu’elles n’approuvent pas. (…) »