Recension du livre Time to Think de Hannah Barnes, Livre de la Semaine primé par The Observer

Qu’est-ce qui a mal tourné au Gender Identity Development Service de la clinique Tavistock ? Cette enquête de la journaliste de l’émission télé BBC Newsnight sur la clinique d’identité sexuelle pour enfants du Tavistock constitue une lecture dérangeante. Par Rachel Cooke, The Guardian, 19 fév 2023 Le livre d’Hannah Barnes sur l’ascension et la chute…

LE DÉPLACEMENT DE SENS : UN MOTIF POUR LES « TRANSITIONS » 

« Nous avons besoin d’un avenir dans lequel les personnes qui ont du mal à accepter leur identité sexuelle sont encouragées à explorer les raisons plus profondes de leur combat, y compris les raisons pour lesquelles elles pensent que des traitements hormonaux et des chirurgies les aideront à obtenir des résultats intangibles comme le bonheur. »

Et si ce n’était qu’une phase ?

Notre conception de nous-mêmes n’est jamais tout à fait fixe. Par Victoria Smith, rubrique Artillery Row, The Critic Le 1er novembre 2022 Personne n’aime se faire dire qu’ille ne fait que « passer par une phase ». C’est une phrase qui semble, au mieux, condescendante et dédaigneuse – quoi que vous ressentiez, c’est trop éphémère pour être…

Recension du film « Detransition Diaries »

« (…) Les professionnels de la santé, les thérapeutes, les conseillers et même les responsables de l’école ont affirmé qu’elles étaient en effet « trans », mais ce n’est qu’une fois qu’elles se sont engagées dans cette voie, qui promettait d’offrir de l’espoir, qu’elles ont chacune réalisé qu’ils avaient pris une décision terrible. »

L’invention du «transboy»

Sous prétexte de « tolérance », des transactivistes cherchent à abolir les droits des femmes et des enfants, particulièrement ceux des filles que l’on convainc qu’elles sont « nées dans le mauvais corps » si elles osent s’affirmer. Lire Heather Brunskell-Evans à ce sujet.

UNE HOMOPHOBIE TACITE PROPULSE LE MOUVEMENT IDENTITAIRE DU GENRE FACE AUX ENFANTS

« …parmi les enfants qui présentent des signes de dysphorie de genre, nous ne sommes pas encore en mesure de dire qui fera partie de la catégorie de ceux qui se désisteront (soit la majorité) par opposition à la minorité qui persisteront et qui bénéficieraient réellement d’une transition sexuelle. Pour déterminer la réponse à ce dilemme, il nous faut résolument accepter les données scientifiques et ne pas oublier que les homosexuel·le·s méritent également amour et acceptation. »