Les transactivistes qui se disent « antifascistes » sont une menace pour la démocratie
« Bizarrement, en 2023, l’idée que des femmes s’organisent pour défendre leurs droits semble être devenue un irritant pour certains jeunes. »
« Bizarrement, en 2023, l’idée que des femmes s’organisent pour défendre leurs droits semble être devenue un irritant pour certains jeunes. »
« Lorsque nous sommes déshumanisées, par l’utilisation d’un langage qui évite les mots humanisants et fait de nous une collection de parties et de fonctions corporelles, il est plus facile de nous tromper et de nous priver de nos droits. » (Helen Saxby)
(…) Le problème est que non seulement l’affirmation « les femmes trans sont des femmes » n’a aucun fondement scientifique ou logique — de un, les hommes et les femmes, les mâles et les femelles, sont des sexes biologiques immuables et de deux, les définitions circulaires n’ont aucun sens — mais elle efface également les hommes qui s’identifient comme des femmes. Seuls les hommes peuvent être des « femmes trans ». C’est une évidence en vertu du fait que subir un processus de « transition homme-vers-femme » est une qualité fondamentale qui définit le fait d’être une « femme trans ». Par conséquent, si vous n’avez jamais été un homme au départ, vous n’avez jamais été une « femme trans » non plus. (…) »
« (…) Trop de bonnes personnes ont peur d’exprimer leurs sentiments. Tout ce que je peux espérer, c’est qu’un jour cette folie prendra fin; qu’un jour les écailles tomberont des yeux des gens et que toute la situation sera reconnue pour ce qu’elle est : une version contemporaine du conte les « vêtements neufs de l’empereur ». (…) »
La politique publique américaine est entièrement saturée par la notion d’identité de genre. Des populations vulnérables comme les étudiant.es et les patient.es en subissent les conséquences. par Phyllis Chesler, écrivaine Au début de l’année 2021, j’étais assise dans la salle d’attente d’un hôpital de la ville de New York, attendant ma première injection de vaccin…
« Qui sont les vrais fanatiques dans la croisade délirante menée contre l’Alliance LGB ? Est-ce L’Alliance elle-même, pour avoir simplement parlé de la réalité du sexe et de l’attirance envers le même sexe ? Ou sont-ce les foules furieuses des imprécateurs qui font tout ce qu’ils peuvent pour humilier et pour silencier cette organisation ? » (Brendan O’Neill)
« La défense des droits humains a toujours procédé des récits véridiques des violations de ces droits, avec une grammaire morale publique et partagée pour dire les agressions, pour changer les lois (adoptées et mises en application) et stopper les abus de pouvoir. Si la grammaire devient privée, le mensonge, obligatoire, et si les textes n’imposent pas de limites à l’exercice du pouvoir, nous ne pourrons poursuivre ni la défense des droits humains, ni celle des droits des femmes. »
« (…) la pandémie de coronavirus a clairement mis en évidence les différences sexuelles entre les hommes et les femmes. Les hommes sont beaucoup plus susceptibles de mourir du virus, et ce en raison de leur sexe, et non de leur « identité de genre ». Aux négationnistes de la science et de la biologie, pour qui « les transfemmes sont des femmes », le virus apprend une autre histoire.(…) »
« (…) Malgré la promesse qu’un rapport d’analyse comparative entre les sexes (ACS) serait publié au sujet de cette loi, il n’a pas été divulgué. Cela déplaît à madame Jennifer Joseph, qui a adressé au gouvernement canadien une pétition officielle pour que ce rapport soit rendu public.(…) »
JANICE TURNER: « (…) Le fait que des médicaments aussi controversés fassent l’objet d’un examen judiciaire et d’une enquête publique devrait être accueilli favorablement. (…) »