La déconstruction des femmes

« Lorsque nous sommes déshumanisées, par l’utilisation d’un langage qui évite les mots humanisants et fait de nous une collection de parties et de fonctions corporelles, il est plus facile de nous tromper et de nous priver de nos droits. » (Helen Saxby)

Born in the Right Body

(…) Le problème est que non seulement l’affirmation « les femmes trans sont des femmes » n’a aucun fondement scientifique ou logique — de un, les hommes et les femmes, les mâles et les femelles, sont des sexes biologiques immuables et de deux, les définitions circulaires n’ont aucun sens — mais elle efface également les hommes qui s’identifient comme des femmes. Seuls les hommes peuvent être des « femmes trans ». C’est une évidence en vertu du fait que subir un processus de « transition homme-vers-femme » est une qualité fondamentale qui définit le fait d’être une « femme trans ». Par conséquent, si vous n’avez jamais été un homme au départ, vous n’avez jamais été une « femme trans » non plus. (…) »

Des hôpitaux aux écoles, « l’identité de genre » efface de plus en plus le critère de l’identité sexuelle dans les institutions publiques.

La politique publique américaine est entièrement saturée par la notion d’identité de genre. Des populations vulnérables comme les étudiant.es et les patient.es en subissent les conséquences. par Phyllis Chesler, écrivaine Au début de l’année 2021, j’étais assise dans la salle d’attente d’un hôpital de la ville de New York, attendant ma première injection de vaccin…

La disgracieuse campagne de diffamation menée contre l’Alliance LGB

« Qui sont les vrais fanatiques dans la croisade délirante menée contre l’Alliance LGB ? Est-ce L’Alliance elle-même, pour avoir simplement parlé de la réalité du sexe et de l’attirance envers le même sexe ? Ou sont-ce les foules furieuses des imprécateurs qui font tout ce qu’ils peuvent pour humilier et pour silencier cette organisation ? » (Brendan O’Neill)

Une avocate américaine démonte la stratégie transgenriste, une menace existentielle aux droits des femmes

« La défense des droits humains a toujours procédé des récits véridiques des violations de ces droits, avec une grammaire morale publique et partagée pour dire les agressions, pour changer les lois (adoptées et mises en application) et stopper les abus de pouvoir. Si la grammaire devient privée, le mensonge, obligatoire, et si les textes n’imposent pas de limites à l’exercice du pouvoir, nous ne pourrons poursuivre ni la défense des droits humains, ni celle des droits des femmes. »

Mais pourquoi les femmes ne peuvent-elles pas être plus gentilles ?

« (…) la pandémie de coronavirus a clairement mis en évidence les différences sexuelles entre les hommes et les femmes. Les hommes sont beaucoup plus susceptibles de mourir du virus, et ce en raison de leur sexe, et non de leur « identité de genre ». Aux négationnistes de la science et de la biologie, pour qui « les transfemmes sont des femmes », le virus apprend une autre histoire.(…) »