C’est de l’EUGÉNISME GAY…

« La gauche semble penser qu’il est progressiste de déclarer constamment que ‘tout le monde peut être ce qu’il veut’, mais elle omet toujours d’aborder le fait que nous assistons à un nettoyage génétique à grande échelle des enfants gays et lesbiens… »

Graham Linehan: « Ne les laissez pas criminaliser l’approche thérapeutique »

« (…) Voilà ce que signifie le modèle d’affirmation. Dès le premier contact en ligne, tous les adultes entourant l’enfant – les parents, l’ami qui a accepté de lui injecter des bloqueurs de puberté pour eux (leur évitant ainsi d’avoir à se rendre dans un cabinet médical), et le gentil médecin à l’autre bout de Skype, n’ont cessé de l’affirmer. Non pas affirmer l’enfant, mais affirmer la nécessité du traitement.(…) »

CE QUE CACHE LE PROJET DE LOI FÉDÉRAL C-4 SUR LES THÉRAPIES DE CONVERSION

THÉRAPIE DE CONVERSION: « …les activistes trans se sont emparés de cette notion pour assimiler à une « thérapie de conversion » tout conseil de prudence et toute résistance à la « transition de genre », un terme fourre-tout comprenant le ‘brainwashing » des jeunes pour les convaincre qu’iels sont « nés dans le mauvais corps », le changement de prénom et de nom, le travestisme, la prescription d’hormones de l’autre sexe et, en bout de ligne, les chirurgies transsexuelles, toutes appliquées à des enfants de plus en plus jeunes. »

Chris Selley : La nouvelle version de l’interdiction des thérapies de conversion par les libéraux rend un projet de loi douteux encore plus douteux.

Chris Selley: « (…)Les parlementaires ont fait leur travail en critiquant le projet de loi C-6 lors de la dernière session parlementaire, même si cela n’a pas beaucoup amélioré la législation. Ils doivent retourner à la planche à dessin avec le projet de loi C-4, et ne pas le faire passer en force simplement parce qu’il est facile de l’appuyer et difficile de s’y opposer. »

UNE HOMOPHOBIE TACITE PROPULSE LE MOUVEMENT IDENTITAIRE DU GENRE FACE AUX ENFANTS

« …parmi les enfants qui présentent des signes de dysphorie de genre, nous ne sommes pas encore en mesure de dire qui fera partie de la catégorie de ceux qui se désisteront (soit la majorité) par opposition à la minorité qui persisteront et qui bénéficieraient réellement d’une transition sexuelle. Pour déterminer la réponse à ce dilemme, il nous faut résolument accepter les données scientifiques et ne pas oublier que les homosexuel·le·s méritent également amour et acceptation. »