Une foule hostile a pris d’assaut un événement proféministe à la faculté de Droit de l’université McGill la semaine dernière à Montréal – afin de se porter à la défense de la justice de genre, bien sûr.

« Je dois remercier les manifestants de m’avoir fourni une expérience de première main de ce type d’intimidation », a déclaré le professeur Wintemute aux médias. « Il est probable que la majorité des femmes de nos pays ne sont pas d’accord avec certaines des revendications transgenristes, mais elles choisissent de ne pas le dire de peur d’être diffamées comme intolérantes. »

Quand les droits des trans l’emportent sur ceux des autres

« Il n’y a que six millions de personnes au Danemark. Et les droits des femmes et le mouvement des femmes sont au cœur de cette société. Pourtant, il y a déjà des cas de violence à l’égard des femmes et de viols commis par des « femmes » auto-identifiées qui ont accédé à des espaces dédiés aux femmes. Il en va de même en Norvège. » (Rosa Freedman)