Phyllis Chesler se remémore la deuxième vague du féminisme
La deuxième vague était la première fois de ma vie que je faisais l’expérience d’une solidarité féminine fondée sur des idées – et ce fut merveilleux. (Phyllis Chesler)
La deuxième vague était la première fois de ma vie que je faisais l’expérience d’une solidarité féminine fondée sur des idées – et ce fut merveilleux. (Phyllis Chesler)
« Les hommes gays veulent maintenant que les compagnies d’assurance traitent le fait d’être né homme comme un handicap ou comme une catégorie protégée, qui nécessite une compensation payée », a-t-elle écrit en avril dans un article pour un site féministe (4W), publié quelques jours après que ces hommes aient déposé leur requête. « Ils protestent contre la prétendue « injustice » de ne pas être né biologiquement femme. » (Phyllis Chesler)
Phyllis Chesler: « C’est comme si le monde des non-écrivains savait qu’un écrivain aime écrire, qu’il ou elle ne peut pas ne pas écrire, et que ce monde n’allait certainement pas payer quelqu’un pour faire ce qu’il ou elle aime faire dans un monde où les gens sont payés, soit trop peu, soit trop, pour faire ce qu’ils détestent faire. »
La politique publique américaine est entièrement saturée par la notion d’identité de genre. Des populations vulnérables comme les étudiant.es et les patient.es en subissent les conséquences. par Phyllis Chesler, écrivaine Au début de l’année 2021, j’étais assise dans la salle d’attente d’un hôpital de la ville de New York, attendant ma première injection de vaccin…