La société préfère les femmes mortes aux femmes qui se défendent
« Nous ne mettrons pas fin aux fémicides tant que nous, les femmes, ne reconnaîtrons pas les véritables conditions de nos vies, que nous ne cesserons pas d’être complices de notre oppression et que nous ne nous lèverons pas pour exiger un monde où nos vies sont importantes. Nous avons besoin d’une renaissance du mouvement des femmes dans notre pays. »