« (…) Frapper quelqu’un, c’est frapper quelqu’un, mais si vous frappez une femme prostituée, ce n’est plus frapper. La loi qui punit le fait de battre son prochain n’est plus appliquée. C’est une des façons les plus cruelles de traiter les personnes prostituées. Vous auriez été mieux traitée à l’époque victorienne(…) »

Barbara Kay : Au Royaume-Uni, la fermeture de la clinique Tavistock met en évidence les préjudices causés par les théoriciens radicaux du genre

« La Society for Evidence Based Gender Medicine (SEGM) s’est réjouie de la nouvelle, citant les multiples signaux d’alarme qu’elle avait lancés au fil des ans, notamment la « rareté des preuves » justifiant la suppression de la puberté et les problèmes éthiques entourant le consentement éclairé chez les mineurs. »

Le coronavirus met plus que jamais en danger les Néo-Zélandaises de l’industrie du sexe ; pourquoi est-ce que le lobby pro-décriminalisation ne les aide pas ?

« La dépénalisation complète ne protège que les proxénètes, les acheteurs, les propriétaires de bordels et ceux qui profitent du commerce du sexe. Comme l’a prouvé le COVID-19, les femmes qui pratiquent le commerce du sexe en Nouvelle-Zélande ne sont pas protégées. Elles ne sont pas plus en sécurité, elles sont en fin de compte plus en danger aujourd’hui qu’elles ne l’auraient été avant la réforme de la loi en 2003.  Quand allons-nous commencer à ouvrir les yeux et à nous éveiller à ce qui se passe autour de nous ? Il est vraiment temps de regarder les choses autrement. » (Ally Marie Diamond, survivate)

Ce pour quoi la prostitution ne doit jamais être légalisée – Julie Bindel

« Si la prostitution est présentée comme un travail, il va de soi que les travailleuses ont besoin de droits. Le problème est que l’expression « travailleuse du sexe », inventée dans les années 1980 et de plus en plus utilisée par la police, les travailleurs de la santé et les médias, inclut les pornographes, les danseuses érotiques et les proxénètes, en même temps que celles qui vendent réellement du sexe. »