4. Les femmes n’ont pas besoin de toilettes : retour à l’ère victorienne

« (…) contrairement à ce que l’on suppose depuis des siècles, les différences entre les sexes peuvent être considérables. Des chercheurs en ont trouvé dans tous les tissus et organes du corps humain, ainsi que dans « la prévalence, le déroulement et la gravité » de la plupart des maladies humaines courantes. (…) »

La déconstruction des femmes

« Lorsque nous sommes déshumanisées, par l’utilisation d’un langage qui évite les mots humanisants et fait de nous une collection de parties et de fonctions corporelles, il est plus facile de nous tromper et de nous priver de nos droits. » (Helen Saxby)

LE PROGRAMME TRANSACTIVISTE

« (…)Il ne s’agit pas de personnes fluides en matière de genre qui expriment leur esprit fluide en matière de genre, il s’agit d’hommes qui prétendent être des femmes et qui s’emparent des espaces des femmes et les terrorisent de l’intérieur.(…) »

JK Rowling a raison : les espaces sûrs destinés aux femmes doivent être protégés.

Suzanne Moore: « Rowling a créé un espace sûr où il ne sera pas demandé aux femmes de « recadrer » leur traumatisme, comme l’a dit le responsable transgenre du centre d’aide aux victimes de viol d’Édimbourg. Elles seront dans un environnement sans hommes, et nous avons besoin de tels endroits tant que la violence masculine sera le fond de commerce de la vie de nombreuses femmes. »

Le cas choquant d’une victime d’agression à qui l’on a refusé une intervention chirurgicale vitale parce qu’elle avait demandé un personnel non mixte.

« …L’anecdote du Princess Grace n’est pas seulement liée au « débat sur les trans », mais elle clarifie la manière dont ce débat non seulement reproduit mais amplifie la honte traditionnelle et millénaire des femmes victimes de crimes sexuels. C’est cette honte qui a permis à une personne telle que Maxine Estop Green de menacer la vie d’une femme qui exprime ses craintes… »