Le nom de mon violeur est…
Plus tôt cette semaine, une jeune anglophone québécoise a publié sur Facebook un long compte rendu de son vécu auprès d’un agresseur, soi-disant progressiste. Vu le courage de cette femme et la pertinence à plusieurs égards de son récit, nous l’avons traduit ci-dessous. Il s’inscrit dans une dynamique propre à l’Amérique du Nord, dans le…