La médecine transgenriste a-t-elle un robuste fondement philosophique ?

« … affirmer des prétentions identitaires transgenristes, et effectuer des interventions médicales et chirurgicales sur la base de telles prétentions n’est pas une réponse vraiment responsable ou compatissante pour ceux qui souffrent de dysphorie de genre, mais est plutôt susceptible d’entraîner un préjudice profond, du moins à long terme… »