Fermeture de la clinique de genre Tavistock – bon débarras!
« (…) quoi qu’on en dise, se sentir si bouleversée par son propre corps que tu te sens poussée à vivre comme le sexe opposé n’est pas un signe de santé mentale. (…) »
« (…) quoi qu’on en dise, se sentir si bouleversée par son propre corps que tu te sens poussée à vivre comme le sexe opposé n’est pas un signe de santé mentale. (…) »
« Seules des poursuites et des sanctions réelles peuvent dissuader les hommes violents et véritablement protéger les victimes. … Si les autorités veulent sérieusement contrer la violence intime des hommes, elles devraient cesser d’offrir à ses auteurs des cartes de sortie de prison à bon compte, uniquement parce que c’est pratique. »
« Le porno, comme toutes les grandes industries mondiales, a des interfaces avec les banques, les cartes de crédit, les médias grand public et les multiples plateformes de médias sociaux », explique l’experte en économie Gail Dines. « Chacune de ces industries a un intérêt économique direct dans la poursuite et la croissance de l’industrie pornographique. » Ce sont simplement les pauvres filles comme Chloé qui y perdent au change.
Un projet de loi italien visant à décriminaliser la prostitution et à criminaliser son achat reproduit le modèle nordique, une initiative qui a fait ses preuves.
« (…) Ce que les gens ne voient pas, c’est que la légalisation et la normalisation de la prostitution ne réifient ni ne déshumanisent pas certaines femmes, mais toutes les femmes. Le fait que les hommes aient un accès [monétaire] au corps de certaines femmes renforce leurs agressions et leur humiliation d’autres femmes dans leur vie. (…) »
De la fin des années 1990 jusqu’en 2004, j’ai travaillé dans des universités en tant que chercheure sur le commerce du sexe, le viol et la violence conjugale. Après avoir écrit régulièrement des commentaires pour les journaux afin de mettre en valeur mon travail militant, j’ai réalisé que je serais bien plus heureuse en le faisant à plein temps et je suis devenue journaliste.
« …Compte tenu de l’abondance de preuves démontrant les désastres de la dépénalisation là où elle a été essayée, il est choquant qu’un certain nombre d’agences de santé publique et d’organisations de défense des droits de l’homme soutiennent une dépénalisation généralisée; c’est notamment le cas de l’OMS, ONU SIDA, Human Rights Watch et Amnesty International… »
Julie BINDEL: « Les électeurs ordinaires peuvent constater qu’un politicien trop mou pour dire ce qu’est une femme n’aura jamais le courage de se battre pour un principe digne de ce nom. »
Julie Bindel balance sur la façon dont d’autres féministes ont rendu méconnaissable le projet initial de la deuxième vague. Le féminisme populaire au Royaume-Uni est en plein essor en ce moment, avec la journaliste Julie Bindel qui monte au front en tant que trouble-fête en cheffe. Au cours d’une longue histoire d’activisme qui a commencé…
» (…) Malgré tout, la publication de ces livres, et surtout leur couverture dans les journaux grand public, confère au féminisme critique du genre une légitimité qui aurait été inconcevable il y a cinq ans à peine. (…) «