Une étude portant sur la communauté des « incels » révèle que ces hommes « mènent une guerre contre les femmes » et constituent une « menace émergente pour les enfants ».

(…) Les auteurs de tueries de masse sont réputés pour avoir été actifs dans des communautés incel et pour y avoir discuté de leurs idées. C’est notamment le cas d’un assassin originaire de Plymouth, Jake Davison, qui a tué cinq personnes dont une fillette de trois ans en août 2021. (…)

JK Rowling a droit à nos excuses

« (…) Rappelez-vous ceci, JK – même si cela peut sembler contre-intuitif aux progressistes, dont le foyer naturel est la marge – la plupart des gens regardent avec incrédulité la coupure actuelle entre cette culture et la réalité. En dépit des protestations véhémentes exprimées, vous êtes du bon côté de l’histoire, non seulement en raison de vos arguments, mais aussi pour la dignité avec laquelle vous les formulez. » (Petra Bueskens)

La prostitution selon Amnesty International

« …si le personnel d’Amnesty se présente comme des défenseurs des droits de l’homme, il est clair que leur message se résume à « Allez, n’en parlons plus. » Pour qui se prend Amnesty pour traiter la République dominicaine comme une déchetterie internationale de politiques publiques ratées ?… »

La violence de type masculin (« Male-Pattern Violence »)

« La violence de type masculin comprend la violence sexuelle, y compris la violence sexuelle à l’égard de leurs propres enfants. On note parmi les formes les plus courantes de violence de type masculin l’agression/le meurtre d’une femme qui les rejette ou qui tente de quitter une relation avec eux, le meurtre des enfants, de la femme et le suicide par tendance à considérer leur femme et leurs enfants comme une simple extension d’eux-mêmes, le meurtre d’autres hommes qui sont en concurrence économique avec eux, le meurtre pour déshonneur, le meurtre pour la satisfaction sexuelle et le meurtre dans une colère jalouse. La violence de type masculin s’étend de ces crimes individuels jusqu’à la guerre à grande échelle et au génocide. »

Daisy Haynes pète une soupape

« (…) Les femmes demeurent un bien public, et nous n’avons toujours pas le droit de désigner le problème : la violence masculine. On nous demande encore de justifier sans cesse nos revendications. Les critiques du féminisme ont inventé des explications pour chaque aspect de l’oppression des femmes, et l’ont justifiée dans tous les médias populaires.(..) »

La pornographie sape la base du mouvement #MeToo

« La contradiction est évidente : au moment où les hommes commencent à être tenus responsables de l’utilisation de leur pouvoir pour manipuler et agresser sexuellement des femmes, l’industrie de la pornographie continue de socialiser les hommes à adopter précisément ces comportements. »