Andrea Dworkin contre l’idéologie du genre

« …Ce dont je suis certaine, c’est qu’Andrea aurait reconnu dans le transactivisme – celui qui tolère les menaces de mort et de viol contre celles d’entre nous qui s’expriment sur les espaces non mixtes et sur la nécessité de maintenir des centres d’aide aux victimes de viols réservés aux femmes – le genre de misogynie débridée qu’il constitue manifestement. » (Julie BINDEL)

Une dystopie très topique

« Ils ont déclaré que les femmes n’étaient pas des femelles humaines adultes. À la place, ils ont dit que les femmes n’étaient pas réelles, qu’elles n’étaient pas définissables et que, par conséquent, n’importe qui pouvait déclarer qu’il était une femme. (…) »

Nouveau rappel que la version contemporaine du progressisme déteste les femmes

« Dre DEBRA SOH: Les droits des femmes sont bafoués chaque fois que l’on soutient une politique qui donne la priorité à l’identité autoproclamée sur le sexe biologique. Les lecteurs qui partagent mon inquiétude doivent aller au-delà de la peur des étiquettes telles que « transphobe », « haineux » et « raciste ». Ces fausses idées ne doivent pas nous contrôler. »

L’ignorance privilégiée de Daniel Radcliffe

« (…) Si cela vous choque, allez vous chercher un livre de coloriage pour adultes. Ce n’est pas pour rien que les écrivains sont plus souvent victimes de la chasse aux sorcières que d’autres professions. Nous aimons les mots. Nous savons que c’est en étant obligés de répéter des mensonges que tous les régimes diaboliques du monde exercent leur pouvoir.(…) »

Combattre l’hydre de l’idéologie du genre

« (…) Les discussions sur les limites biologiques sont la voie à suivre pour affronter l’hydre de l’idéologie genriste et les mensonges qu’elle tente de consolider dans la société et dans nos esprits. Nous devons affiner notre message. Nous ne pouvons pas nous perdre dans le bourbier de discussions sur de soi-disant « droits ». Il ne s’agit pas d’une question de droits pour les marginaux par rapport aux droits des autres. Il s’agit de reconnaître une opposition entre la réalité et l’antiréalité. (…) »

Une foule hostile a pris d’assaut un événement proféministe à la faculté de Droit de l’université McGill la semaine dernière à Montréal – afin de se porter à la défense de la justice de genre, bien sûr.

« Je dois remercier les manifestants de m’avoir fourni une expérience de première main de ce type d’intimidation », a déclaré le professeur Wintemute aux médias. « Il est probable que la majorité des femmes de nos pays ne sont pas d’accord avec certaines des revendications transgenristes, mais elles choisissent de ne pas le dire de peur d’être diffamées comme intolérantes. »

Les femmes de la génération des milléniaux n’ont pas été biberonnées au discours débile de l’identité sexuelle. Comment avons-nous pu tomber dans ce panneau ?

Nos corps n’étaient pas censés avoir de signification par Eliza Mondegreen 9 novembre Je suis toujours stupéfaite – lorsque je vais sur un campus ou que je rôde aux abords d’une fête – de voir combien de jeunes femmes se sont fait amputer les seins au cours des dernières années. (Si vous avez du mal…