Ceux qui peuvent vous faire croire à l’identité de genre peuvent vous faire commettre des atrocités.

EVA KURILOVA: « (…) Il n’est pas « gentil » ou « anodin » d’acquiescer à l’idée incompréhensible et incohérente de l’identité sexuelle. Il est impossible d’échapper aux répercussions de la valorisation du mensonge par rapport à la vérité. Accepter l’absurde, c’est renoncer au pouvoir de dénoncer l’atroce. »

Bienvenue à la Clinique des Stéréotypes Sexuels

« Quand des hommes décident d’échapper aux stéréotypes qui leur sont assignés en adoptant l’identité des femmes, ils prennent, une fois de plus, une décision égoïste en abandonnant la lutte contre les rôles oppressifs et la possibilité que tout le monde en bénéficie. » (Yağmur Uygarkız)

« Je suis une lesbienne qui ne croit pas que les hommes puissent être lesbiennes : Traînez-moi au tribunal. »

« De toutes les fibres de mon corps de femme, je rejette l’idée que les hommes peuvent être des femmes, des lesbiennes ou des mères. Je suis consternée que notre Parlement ait rendu impossible le rejet du système de croyance sur l’identité sexuelle et la dénonciation des comportements nuisibles et agressifs des hommes qui prétendent être des femmes. » (Tonje Gjevjon)

Quand les droits des trans l’emportent sur ceux des autres

« Il n’y a que six millions de personnes au Danemark. Et les droits des femmes et le mouvement des femmes sont au cœur de cette société. Pourtant, il y a déjà des cas de violence à l’égard des femmes et de viols commis par des « femmes » auto-identifiées qui ont accédé à des espaces dédiés aux femmes. Il en va de même en Norvège. » (Rosa Freedman)

Le Japon découvre « TRANS » d’Helen Joyce

« (…) Dans le cadre de cette réaffectation, l’individu transidentifié se donne un nouveau nom qui correspond à son genre « correct ». Au lieu de « Jack », il devient « Jill ». L’idéologie trans affirme que le genre est « fluide » et non « binaire », mais les personnes trans insistent pour avoir des noms féminins et masculinisés, fermement conformes aux normes de genre traditionnelles. Ne pas utiliser le nouveau nom et le pronom préféré d’une personne trans est traité comme une insulte de premier ordre. (…) »