LE TRANSGENRISME OU LA RELIGION DU GENRE

« (…) Le genre n’est pas du tout dissous, contrairement à ce que nous pensions au départ. En fait, c’est exactement le contraire. Le genre règne en maître, ayant vaincu le sexe, et il repose toujours sur les mêmes vieux stéréotypes. On assiste à une sorte de refonte idéologique. La théorie de l’identité de genre emprunte des termes fondamentaux au féminisme, mais leur attribue des significations opposées. (…) »

La loi trans : un « sésame » pour les prédateurs

« Lorsque cette loi a été adoptée, l’image que l’on se faisait du requérant était celle d’une personne qui ne causerait aucun problème dans un vestiaire, des toilettes, un service ou une prison réservés aux femmes, car tout le monde accepterait simplement que cette personne “est” une femme. Les événements de ces derniers jours auraient dû faire comprendre à tout le monde que c’est loin d’être les cas qui se présentent dans la réalité. »

On nous ressort le cliché d’une « crise de la masculinité » après l’arrestation du proxénète influenceur misogyne Andrew Tate, mais…

« Tandis que les hommes soi-disant « progressistes » s’imaginent à l’opposé des activistes des droits masculins (masculinistes), leur investissement dans le concept de l’identité de genre ou sexuelle — un concept qui essentialise la masculinité et la féminité — révèle un même attachement au mythe de l’exceptionnalisme masculin. La féminité reste ce que la masculinité n’est pas. Et cela ne nous conduit pas à un monde dans lequel les garçons sont privés d’identité, mais à un monde qui en prive les filles.(…) »

PENILE IMPERIALISM (IMPÉRIALISME PÉNIEN), INTRODUCTION

 » Les gains obtenus par les militants des droits des hommes reposent sur le mythe selon lequel les hommes qui adoptent ce qu’ils considèrent comme des comportements féminins sont motivés par une sorte d’essence de genre ou d’« identité de genre » dont ils ont hérité et qui fait d’eux une catégorie de personnes opprimées. » (Sheila Jeffreys)