. »Au cours des deux dernières années, Madame Mason, elle-même ex-détenue, a défendu les femmes criminalisées dans divers dossiers carcéraux, y compris la ségrégation, la fouille à nu et les conditions de détention pendant la pandémie de COVID-19. Dans ses communications avec ces femmes, beaucoup d’entre elles ont fait état d’expériences pénibles avec des prisonniers masculins. (…) Étant donné que tout compte rendu de violence commise par des personnes s’identifiant comme transgenres est traitée comme de la « transphobie », dans de nombreux cas, les femmes évitent de signaler leurs expériences. Cela se produit dans un contexte où les femmes « sont déjà réticentes à le faire en raison de la honte entourant les agressions sexuelles, le harcèlement sexuel et le signalement en prison en général ».