On nous ressort le cliché d’une « crise de la masculinité » après l’arrestation du proxénète influenceur misogyne Andrew Tate, mais…
« Tandis que les hommes soi-disant « progressistes » s’imaginent à l’opposé des activistes des droits masculins (masculinistes), leur investissement dans le concept de l’identité de genre ou sexuelle — un concept qui essentialise la masculinité et la féminité — révèle un même attachement au mythe de l’exceptionnalisme masculin. La féminité reste ce que la masculinité n’est pas. Et cela ne nous conduit pas à un monde dans lequel les garçons sont privés d’identité, mais à un monde qui en prive les filles.(…) »