Ce que les incels et les transactivistes ont en commun
« La brigade des Black Pampers en sait au moins assez long pour ne pas exprimer directement son dégoût du féminisme. Mais elle l’exprime de bien d’autres manières,… »
« La brigade des Black Pampers en sait au moins assez long pour ne pas exprimer directement son dégoût du féminisme. Mais elle l’exprime de bien d’autres manières,… »
MEGHAN MURPHY: « Nous savons que la grande majorité des personnes qui se retrouvent dans le commerce du sexe sont soit forcées, littéralement réduites en esclavage, soit entraînées dans cette voie par des sévices et des abus pendant l’enfance, soit amenées à vendre des services sexuels par désespoir (pauvreté et dépendance). «
« Voir des femmes qui avaient passé leur vie à travailler pour les femmes être harcelées, menacées, ostracisées, agressées verbalement et expulsées de leurs communautés, partis politiques et groupes d’activistes était inacceptable pour moi. Voir des jeunes hommes et femmes qui n’avaient rien apporté au monde et certainement rien fait pour lutter contre la violence envers les femmes tenter de détruire tout ce que les femmes avaient construit pendant des décennies était inacceptable pour moi. Les femmes qui faisaient du bien étaient réduites au silence, accusées de la chose même qu’elles subissaient : l’effacement, l’intimidation, l’intolérance, voire la violence. »
» Choisir « la gauche » simplement à cause de son étiquette est trop simpliste et naïf à notre époque. Si le sexe demeure binaire, la politique, elle, ne l’est pas. » (Meghan Murphy)
« …Quoi qu’il en soit, il n’est pas vrai que les femmes « oppriment » ceux qui promeuvent l’idéologie de l’identité de genre. Nous défendons les droits et les espaces pour lesquels les femmes se sont battues si fort depuis plus d’un siècle… »
« Plus les hommes se tourneront vers des scènes fictives de viol et d’agressions qui exigent une déshumanisation des femmes, plus on verra de femmes se détourner des hommes qui cherchent à leur refuser le statut de personne. »
Twitter autorise le cyber-harcèlement de femmes et punit celles qui tentent de faire rendre des comptes aux agresseurs et à l’entreprise.
« J’espère qu’il viendra un jour où nous trouverons incompréhensible d’avoir stérilisé des enfants en bonne santé et censuré avec colère les voix qui lançaient des signaux d’alarme, et tout cela au nom, ironie ultime, de la protection des enfants. »
Une journaliste féministe canadienne est la plus récente victime de la croisade menée contre la « transphobie »
Même de « bons gars » continuent à défendre un droit d’accès des hommes aux corps des femmes sous prétexte d’une théorie discréditée de l’évolution. Publié sur Feminist Current, le 15 novembre 2017, par Heather Brunskell-Evans Une campagne de réactions hostiles est apparue en parallèle à la campagne #MeToo. Brendan O’Neill, rédacteur en chef de Spiked et…