Recension de TRANS par Yolande Geadah
« ,,,ce livre contribue à ouvrir les yeux sur les reculs que peuvent représenter certains changements juridiques et politiques mal avisés, préconisés au nom de la défense des droits humains des transgenres. »
« ,,,ce livre contribue à ouvrir les yeux sur les reculs que peuvent représenter certains changements juridiques et politiques mal avisés, préconisés au nom de la défense des droits humains des transgenres. »
… les féministes observent la société dans laquelle nous vivons et se demandent comment combattre le pouvoir masculin. Pour découvrir comment le combattre, nous devons découvrir comment il s’organise. Comment se maintient-il ? Comment cela fonctionne-t-il ? Comment se perpétue-t-il en tant que système de pouvoir ?
Ainsi, nous examinons le pouvoir masculin, toutes ses institutions, pour comprendre leur fonctionnement. Et nous cherchons un moyen de les arrêter. (Andrea Dworkin)
« Je me suis mise en danger. J’ai mis ma vie en jeu. J’ai pris une décision sur ce qui compte et ce qui est essentiel pour le moment dans cette communauté humaine dans laquelle je vis. Et je l’ai fait. Et je suis heureuse de l’avoir fait. » (Andrea Dworkin)
De la fin des années 1990 jusqu’en 2004, j’ai travaillé dans des universités en tant que chercheure sur le commerce du sexe, le viol et la violence conjugale. Après avoir écrit régulièrement des commentaires pour les journaux afin de mettre en valeur mon travail militant, j’ai réalisé que je serais bien plus heureuse en le faisant à plein temps et je suis devenue journaliste.
« (…) Ce verdict aura un effet dévastateur sur les survivantes, qui seront réduites au silence, sachant qu’elles ne peuvent maintenant plus témoigner de leur vécu de violence aux mains des hommes sans la menace d’un procès ruineux en diffamation. (…) »
ROBERT JENSEN: « Le principe au cœur de mon argumentation auprès des hommes à propos du patriarcat et du féminisme est qu’il est facile de faire ce qu’il faut lorsque nous réalisons que faire notre propre truc – de la manière dont nous avons été formés en tant qu’hommes dans une société dominée par les hommes, souvent de manière robotique – est non seulement nuisible aux filles et aux femmes mais aussi pas particulièrement bon pour nous. »
Lorsque des gens croient être en mesure de se transposer dans un autre genre, ils ou elles entrent dans une aliénation de la réalité induite par des informations fausses, en choisissant de nouveaux pronoms, par exemple.
Joyce suggère que de nombreuses jeunes femmes fuyant la pornographie, craignant d’être kidnappées et victimes de la traite à des fins sexuelles, et incertaines de leur orientation personnelle sont les principales victimes des suggestions d’être « nées dans le mauvais corps ».
Par Olivia Broustra Version originale: « The Trans Ego: Why Allies are becoming TERFS » Texte aussi publié en français sur le blog Scènes de l’avis quotidien Bien joué. Vous avez amené un transfemme à être considéré comme suffisamment femme pour être admis dans une prison pour femmes. Vous avez mis un violeur dans une prison de…
MEGHAN MURPHY: « Les personnes transgenres n’existent pas – il y a des hommes et des femmes, et c’est tout ce qui compte, tant en termes de « genre » que de sexe. Et plus vite nous cesserons de jouer le jeu de cette théorie absurde, plus vite nous pourrons recommencer à discuter de la réalité et à l’aborder comme des adultes. »
« (…) Souvenez-vous de moi lorsque vous lirez dans les journaux que les statistiques criminelles concernant les viols et les meurtres commis par des femmes sont en augmentation, et que les femmes commettent aujourd’hui un nombre bien plus élevé de viols et de meurtres que lorsque vous étiez adolescente ou jeune femme. Et vous savez que que ces « femmes » sont des hommes et que les statistiques sont fausses, mais contester cela serait un discours haineux. (…) »