Lierre Keith : Postface à l’ouvrage « L’empire transsexuel »

Il y a deux semaines, je me tenais sur une place publique avec un groupe de femmes déterminées à défendre nos droits humains et civils fondamentaux à nous réunir, à formuler nos griefs et à nous exprimer d’une manière qui soit socialement significative. Nos doléances sont profondes. Des délinquants sexuels masculins sont désormais placés dans…

Paraît cette semaine en librairie un livre iconique d’Andrea Dworkin, Pornographie: Les hommes s’approprient les femmes (Éditions LIBRE)

En voici l’avant-propos par Dora Moutot. « S’il y a une féministe que j’aurais vraiment aimé rencontrer,c’est bien Andrea Dworkin.Elle fait partie des femmes que j’admire, car elle a su parler de sexualité de façon novatrice, critique et incisive.Mais je n’ai pas eu cette chance. J’avais 18 ans quand elle est décédée et à cette époque,…

Feminist Current a 10 ans – trinquons à une autre décennie d’annulations !

« Voir des femmes qui avaient passé leur vie à travailler pour les femmes être harcelées, menacées, ostracisées, agressées verbalement et expulsées de leurs communautés, partis politiques et groupes d’activistes était inacceptable pour moi. Voir des jeunes hommes et femmes qui n’avaient rien apporté au monde et certainement rien fait pour lutter contre la violence envers les femmes tenter de détruire tout ce que les femmes avaient construit pendant des décennies était inacceptable pour moi. Les femmes qui faisaient du bien étaient réduites au silence, accusées de la chose même qu’elles subissaient : l’effacement, l’intimidation, l’intolérance, voire la violence. »

Présentation de La haine des femmes, par Andrea Dworkin

Ce livre est un acte, un acte politique dont la révolution est l’objectif. Il n’a pas d’autre fonction. Ce n’est pas une quelconque sagesse cérébrale ou une foutaise universitaire, ou des idées gravées dans le granit ou destinées à l’immortalité. Il fait partie d’un processus et son contexte est le changement. Il fait partie d’un…

Mise à jour sur l’intimidation et le harcèlement menés contre une philosophe féministe par l’Université de Bristol

Toutes ces femmes de notre panel académique et la Professeure Stock ont besoin d’un meilleur soutien et de voir leurs droits déjà établis respectés. Pourtant, université après université après université, et même des syndicats, ont plié sous la pression des tyrans qui s’intitulent transactivistes. Dans notre cas, l’université de Bristol est heureuse de gaspiller plus d’un an de temps du  tribunal, y compris les deux heures de l’audience du 17 novembre, en recourant à des faux-fuyants et à des manigances lâches pour justifier le climat toxique qu’elle a déjà créé.

À propos du traitement honteux de la professeure Kathleen Stock par ses collègues de l’Université du Sussex

« La semaine dernière, des affiches sont apparues sur le campus de l’université du Sussex, demandant le renvoi de la professeure Kathleen Stock. Au milieu d’une ignoble collection d’insultes, ces placards la décrivaient comme « l’une des pires transphobes de cette île misérable (le Royaume-Uni), épousant une version abâtardie du féminisme radical » (…) »