Une foule hostile a pris d’assaut un événement proféministe à la faculté de Droit de l’université McGill la semaine dernière à Montréal – afin de se porter à la défense de la justice de genre, bien sûr.

« Je dois remercier les manifestants de m’avoir fourni une expérience de première main de ce type d’intimidation », a déclaré le professeur Wintemute aux médias. « Il est probable que la majorité des femmes de nos pays ne sont pas d’accord avec certaines des revendications transgenristes, mais elles choisissent de ne pas le dire de peur d’être diffamées comme intolérantes. »

Les femmes de la génération des milléniaux n’ont pas été biberonnées au discours débile de l’identité sexuelle. Comment avons-nous pu tomber dans ce panneau ?

Nos corps n’étaient pas censés avoir de signification par Eliza Mondegreen 9 novembre Je suis toujours stupéfaite – lorsque je vais sur un campus ou que je rôde aux abords d’une fête – de voir combien de jeunes femmes se sont fait amputer les seins au cours des dernières années. (Si vous avez du mal…

Les dangers des « soins d’affirmation du genre »

Si l’on s’intéresse de près au langage des activistes auprès desquels l’administration Biden s’est rangée, on découvre un cours magistral sur la façon de manipuler le langage pour normaliser une intervention médicale risquée et invasive sur une catégorie de personnes, les enfants, qui sont généralement considéré·es comme incapables de donner leur consentement dans d’autres contextes.