Propos prophétiques de Germaine Greer, tenus il y a 25 ans…

« Le transsexuel se réserve le droit d’exprimer son récit en tant que trans HàF, mais une femme se voit refuser le droit de donner sa version de ce récit. Il s’agit quant à moi d’une pure et simple censure, d’une pure et simple colonisation. « 

Quand on vous demande « quel est votre pronom », ne répondez pas

« Le fait de contraindre les gens à déclarer publiquement leurs pronoms au nom de l’« inclusion » est un cheval de Troie qui affermit l’empire de l’idéologie du genre. Il s’agit de la partie émergée de la stratégie des activistes du genre visant à normaliser leur vision du monde. En participant aux rituels des pronoms, vous vous rendez complice du système de croyances régressif de l’idéologie du genre, et vous lui reconnaissez une légitimité. » (Colin Wright)

On nous ressort le cliché d’une « crise de la masculinité » après l’arrestation du proxénète influenceur misogyne Andrew Tate, mais…

« Tandis que les hommes soi-disant « progressistes » s’imaginent à l’opposé des activistes des droits masculins (masculinistes), leur investissement dans le concept de l’identité de genre ou sexuelle — un concept qui essentialise la masculinité et la féminité — révèle un même attachement au mythe de l’exceptionnalisme masculin. La féminité reste ce que la masculinité n’est pas. Et cela ne nous conduit pas à un monde dans lequel les garçons sont privés d’identité, mais à un monde qui en prive les filles.(…) »

« Je suis une lesbienne qui ne croit pas que les hommes puissent être lesbiennes : Traînez-moi au tribunal. »

« De toutes les fibres de mon corps de femme, je rejette l’idée que les hommes peuvent être des femmes, des lesbiennes ou des mères. Je suis consternée que notre Parlement ait rendu impossible le rejet du système de croyance sur l’identité sexuelle et la dénonciation des comportements nuisibles et agressifs des hommes qui prétendent être des femmes. » (Tonje Gjevjon)