Anatomie d’un scandale médical

VICTORIA SMITH: « La rhétorique extrémiste – qui exige qu’il n’y ait « aucun débat » et qui considère que quiconque « pose simplement des questions » « nie votre droit à l’existence » – a été intégrée dans la manière dont le service se voyait lui-même. »

Recension de l’ouvrage d’Hannah Barnes Time to Think : l’exposé des dessous du scandale qui a discrédité la clinique britannique du genre Tavistock

« (…) Barnes documente un échec massif au niveau de l’institution et du leadership en matière de protection des droits des jeunes. Des employés subalternes n’ont pas osé affronter l’aveuglement de leurs gestionnaires. Certains des 10 000 enfants qui sont passés par le SDIG ont été aidés, c’est certain. Mais qu’en est-il des autres ? (…) »

Barbara Kay : Au Royaume-Uni, la fermeture de la clinique Tavistock met en évidence les préjudices causés par les théoriciens radicaux du genre

« La Society for Evidence Based Gender Medicine (SEGM) s’est réjouie de la nouvelle, citant les multiples signaux d’alarme qu’elle avait lancés au fil des ans, notamment la « rareté des preuves » justifiant la suppression de la puberté et les problèmes éthiques entourant le consentement éclairé chez les mineurs. »

Recension de « Irreversible Damage » d’Abigail Shrier

Résister à l’engouement pour la mode transgenre Un ouvrage intrépide montre comment le corps des filles est devenu un dommage collatéral dans les guerres culturelles que livrent des adultes. par Janice Turner, The London Times, le 30 décembre 2020 Une expérience théorique (thought experiment) . . .  Des spécialistes traitant une maladie rare observent un…