« Ces hommes ne considèrent pas les femmes comme des femmes, mais seulement comme des objets, des corps. Ils ne savent pas ce qu’elle ressent vraiment, pourquoi elle se prostitue, ce qu’elle pense vraiment, quelle vie elle a eue avant et si elle veut être ici ou pas. C’est du pareil au même pour eux. Aucun d’entre eux ne se soucie des droits des femmes, de sa volonté et de ses sentiments : c’est ce qu’ils ont tous en commun. Ils paient pour l’inexistence de la dignité des femmes, de son identité propre et de sa volonté. La question est donc la suivante : Pourquoi avons-nous besoin d’une institution qui rend cela possible? »