Je n’appellerai jamais « femme » le père qui m’a violée.

JULIE BINDEL: « Le changement de sexe légal étant plus courant – et plus facile – que jamais, il offre aux dangereux prédateurs sexuels une nouvelle occasion de changer à la fois de nom et de sexe officiel, puis de se dissimuler au grand jour. »

À la défense de J.K. Rowling

« (…) Rowling aurait pu demeurer dans son lit. Elle aurait pu se planquer dans sa richesse et son auditoire de fans. Dans son univers « Harry Potter », les héros se démarquent par leur courage et leur compassion. Ses meilleurs personnages apprennent à tenir tête aux brutes et à dénoncer les fausses accusations. Ils et elles nous apprennent que, même lorsque le monde semble s’opposer à vous, vous devez rester ferme dans vos convictions profondes sur ce qui est la bonne voie. (…) »

Quand les droits des trans l’emportent sur ceux des autres

« Il n’y a que six millions de personnes au Danemark. Et les droits des femmes et le mouvement des femmes sont au cœur de cette société. Pourtant, il y a déjà des cas de violence à l’égard des femmes et de viols commis par des « femmes » auto-identifiées qui ont accédé à des espaces dédiés aux femmes. Il en va de même en Norvège. » (Rosa Freedman)

Maintenant que la réforme de la Loi sur la reconnaissance du genre est morte au feuilleton, il est temps que prenne fin ce débat toxique

« (…) Il ne s’agit pas d’un « recul » des droits des transgenres, mais d’un rééquilibrage pour prendre en compte les droits des femmes. « La biologie », comme l’a écrit JK Rowling, « est une réalité. » L’immense majorité des personnes trans, qui n’insisteraient jamais pour traiter les femmes de « menstruatrices », l’ont toujours su. Maintenant que la réforme de la LRG est morte au feuilleton, laissons ce débat inutile et toxique prendre fin pour que ces personnes puissent retrouver leur vie. »