Comment les jeunes femmes se rendent complices du patriarcat qui transforme les femmes d’âge moyen en « harpies » à ignorer et à rabaisser

« (…) J’ai lu cette semaine le nouveau livre de Victoria Smith, Hags : The Demonisation of Middle-aged Women (Harpies : La diabolisation des femmes d’âge moyen), et cette lecture m’a rappelé que j’étais moi-même passée de ce que Smith décrit comme le statut des « trois F » (la féminité, la fécondité et la fuckability) à celui d’un vieux pruneau desséché. (…) »

La folie transgenriste de l’Amérique du Nord atteint aujourd’hui un nouveau niveau scandaleux

« (…) Si l’État du Minnesota décrète que l’accès des enfants à des chirurgies et à des hormones aux effets irréversibles équivaut à des « soins de santé essentiels à leur survie », qu’adviendra-t-il aux parents qui récusent une demande de transition médicale de la part d’un de leurs enfants ? L’étape suivante consisterait logiquement à retirer l’enfant à ses parents. « 

L’auto-identification sexuelle (gender self-ID) aggraverait fortement l’épidémie actuelle d’agressions voyeuristes en Asie de l’Est

« (…) Ces dernières années, l’on a recensé partout dans le monde de nombreux cas d’hommes se travestissant ou prétendant être transgenres pour accéder aux salles de bains et aux vestiaires des femmes à des fins inappropriées. De nombreuses femmes craignent que des prédateurs mâles, qui se donnent déjà beaucoup de mal pour accéder à des femmes et des jeunes filles vulnérables, n’abusent de la notion d’identité sexuelle et ne profitent de l’auto-identification. Le fait est qu’ils le font déjà. »

CONTRE LE « CONTRÔLE COERCITIF »

Victoria Smith: « Les femmes qui ont été victimes d’agressions dans un environnement donné deviennent hyper-sensibles à certains indices, à ces petits signes qui indiquent que la même dynamique est à l’œuvre. Si très peu d’hommes se risquent à traiter une femme en public comme un agresseur conjugal la traiterait en privé, il existe des boutons sur lesquels appuyer, des manières d’occuper l’espace qui démontrent leur sentiment de qui a le dessus. »

L’éducation sexuelle a fait de la dysphorie de genre la nouvelle anorexie des filles, déclare la mère britannique d’une ancienne élève, aujourd’hui transgenre.

Ce parent pense que la décision de son enfant de se déclarer transgenre pendant la pandémie a été influencée par des cours donnés à son école. Par Louisa Clarence-Smith, rédactrice en chef de la rubrique Éducation 18 mars 2023 , The Telegraph « Je n’avais aucune idée de ce qu’était l’identité de genre », déclare la mère…