Puis le SNP demande aux élèves de 7 ans si leur identité de genre est trans ou non binaire. On vous montre l’enquête.
Article original publié dans DailyMail UK le 20 janvier 2023
Le SNP de Nicola Sturgeon envisage maintenant de demander aux enfants de 7 ans s’ils sont « homme, femme, non-binaire, transgenre ou autre » dans le cadre d’une enquête scolaire qualifiée de « honteuse » et d’« endoctrinement ».
· Dans le cadre d’une enquête scolaire en Écosse, les enfants de sept ans seront interrogés sur leur identité sexuelle (gender identity).
· Le conseil municipal d’Aberdeen, dirigé par le SNP et le Lib Dem, a organisé cette enquête pour 59 écoles.
· Les options de genre sont : « Masculin (male), féminin (female), non-binaire, transgenre ou autre. »
Les élèves de l’école primaire qui participent à l’étude sur le sexe et le bien-être sont informés qu’une réponse à cette question est « obligatoire » pour passer à la page suivante de l’enquête.
Les élèves — qui peuvent choisir entre « masculin (male), féminin (female), non-binaire, transgenre ou autre » — ne sont pas tenus d’avoir un parent présent.
Hier soir, des parents furieux ont dénoncé « l’endoctrinement » de jeunes enfants qui ne savent même pas « s’ils veulent des nuggets de poulet ou des bâtonnets de poisson pour le dîner » [No comment pour la malbouffe]
Cette enquête est arrivée sur le tapis quelques jours après que la députée verte Maggie Chapman ait ouvert la porte à la possibilité que les enfants puissent changer de sexe dès l’âge de 8 ans.
Les élèves écossais, dès l’âge de 7 ans, sont invités à indiquer s’ils s’identifient comme transgenres ou non binaires dans le cadre d’une enquête scolaire menée par le SNP et le conseil municipal d’Aberdeen, dirigé par le Lib Dem (photo : Nicola Sturgeon, chef du SNP).
Le conseil municipal d’Aberdeen — dirigé par une coalition SNP et libérale-démocrate — a introduit l’enquête dans ses 59 écoles (siège social en photo).
La députée Verte Maggie Chapman a ouvert la voie à la possibilité pour les enfants de changer de sexe dès l’âge de huit ans.
L’enquête foireuse en question :
À propos de toi — Il s’agit d’une enquête anonyme, mais pour nous aider à en savoir un peu plus sur les personnes qui répondent à cette enquête, réponds aux questions ci-dessous.
1. Quel âge as-tu ?
7 ans — 9 ans
2. Dans quel groupe d’âge es-tu ?
5e année primaire
3. Quelle école primaire fréquentes-tu?
Sélectionnez votre réponse
4. A quel sexe t’identifies-tu ?
Homme (male) l Femme (female)l Non-binaire l Transgenre l Autre
L’enquête a été introduite par le conseil municipal d’Aberdeen — dirigé par une coalition SNP et libérale-démocrate — dans ses 59 écoles.
Douglas Lumsden, député conservateur du nord-est de l’Écosse et ancien co-directeur du conseil municipal d’Aberdeen, a déclaré : « Il est honteux que le conseil oblige des enfants d’à peine sept ans à répondre à des questions sur leur sexe.
Maggie Chapman nous a dit cette semaine qu’elle souhaitait que les enfants de huit ans puissent changer de sexe. Ces questions indiscrètes du conseil municipal semblent suivre le même programme ».
L’enquête indique aux élèves qu’elle posera des questions sur le bien-être physique « et une petite section sur tes relations aux autres et les choix que tu fais ».
Il s’agit de la première autorité locale connue à poser la question de l’identité de sexuelle à ses élèves du cours primaire.
Le gouvernement écossais avait d’abord réalisé une enquête sur la « santé et le bien-être » qui a provoqué l’indignation de nombreux parents.
Elle a été qualifiée de « bizarre » et d’« intrusive » à la suite de préoccupations concernant les questions posées aux élèves de terminale des lycées.
Selon les directives du gouvernement, tous les élèves de P5 à S6 (primaire, collège et secondaire, S pour phase Senior) seront interrogés sur des sujets tels que l’école, la santé, le bien-être, l’activité physique, les habitudes de sommeil, les réseaux sociaux, l’image corporelle et le harcèlement dans le cadre d’une enquête en ligne de 20 à 40 minutes à remplir en classe.
Les élèves de S2 (3ème collège) et plus seront également interrogés sur l’alcool et le tabac, tandis que les élèves de S4 et plus (terminale, école sup et à l’université) devront répondre à des questions sur les relations et la santé sexuelle.
Ces questions ont suscité la controverse, car elles portent sur l’expérience d’actes sexuels spécifiques.
Dans le cadre de l’enquête d’Aberdeen, les élèves des écoles primaires âgés de sept à neuf ans sont interrogés sur leur sexe. [En fait, non, c’est pire puisqu’ils sont interrogés sur leur « identité sexuelle », ce qui les force d’emblée à souscrire à l’existence de cette absurdité et à la reconnaître comme une notion valide]
Jo Bisset, organisatrice du groupe de parents UFTScotland, a déclaré :
« Nous assistons à une augmentation considérable de la dysphorie de genre chez les jeunes. On peut avoir l’impression qu’elle est encouragée. Je pense que le fait que les écoles transitionnent les enfants à l’insu de leurs parents est quelque chose que nos membres trouvent très inquiétant. En dehors de circonstances incroyablement exceptionnelles, les parents sont les personnes les mieux placées pour parler de ces choses aux enfants. L’idée que de potentiels étrangers puissent faciliter la transition est quelque chose de très préoccupant. Il se peut très bien que les parents n’aient aucune idée de ces questions et qu’on les leur cache. Un enfant de sept à neuf ans ne sait même pas s’il veut des nuggets de poulet ou des bâtonnets de poisson pour le dîner, et c’est ainsi que cela devrait être. Ils ne devraient pas s’inquiéter de ce genre de choses. C’est de l’endoctrinement par des adultes qui cherchent à répandre leur propre idéologie et à l’imposer aux enfants ».
Traduction: Audrey A. pour TRADFEM
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