par Maggie Lucas
« Je le vois dans les écoles. Celles qui étaient autrefois des adolescentes ‘tomboys’ (« garçons manqués ») se dissocient maintenant de tout lien avec la féminité ou le lesbianisme. »Je le vois dans les écoles. Celles qui étaient autrefois des adolescentes ‘tomboys’ (« garçons manqués ») se dissocient maintenant de tout lien avec la féminité ou le lesbianisme.
La gauche semble penser qu’il est progressiste de déclarer constamment que ‘tout le monde peut être ce qu’il veut’, mais elle omet toujours d’aborder le fait que nous assistons à un nettoyage génétique à grande échelle des enfants gays et lesbiens – les enfants qui, historiquement, ne se conforment pas aux rôles de genre sévèrement stéréotypés – les filles garçons manqués et les garçons efféminés. En d’autres termes, toute manifestation extérieure d’homosexualité chez les petits enfants est en train d’être trans-identifiée [et médicalisée] afin d’en faire des pseudo-hétérosexuels ; pour qu’ils entrent dans la boîte étroite des stéréotypes de genre.
De plus, en tant que société, c’est un impératif moral de protéger les enfants contre le mal et la mutilation génitale des enfants gays/lesbiens, ainsi que leur transformation en consommateurs à vie de bloqueurs de puberté et d’hormones, [ce qui] est une forme de maltraitance des enfants, surtout si l’on tient compte des statistiques qui montrent que la « dysphorie de genre » est une phase normale de la puberté et que la plupart d’entre eux se désisteront. Il n’y a pas d’autre explication. C’est de l’eugénisme gay. »
Signé : une sœur anonyme (Anon Sister)
Relayé par Maggie Lucas sur sa page FB
Traduction: Marie Montaigue
Très pertinent
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