Pour Amnesty International, un homme est une femme si bon lui semble

« I Am Who I Say I Am » (Amnesty)

C’est avec ce slogan, sans doute créé dans un hôpital psychiatrique, qu’Amnesty International hausse d’un cran son combat contre les droits des femmes (cf. leur soutien aux proxénètes) en prenant parti sans réserve pour les hommes qui « s’identifient » à leur guise contre les droits des femmes.


L’organisation multimilliardaire prend ainsi, contre les femmes, le parti des violeurs qui se disent « femmes » pour être incarcérés avec leurs victimes, des athlètes médiocres qui préfèrent gagner contre des femmes que perdre contre des hommes, des voyeurs qui cherchent à s’imposer dans les salles de douche, les vestiaires et les W.-C. des femmes, des masculinistes qui multiplient des recours pour discrimination contre les refuges de violences conjugales, des politiciens qui accaparent les postes dédiés aux femmes, etc. etc.

Et, bien sûr, le parti des charlatans qui manipulent, droguent et charcutent les jeunes filles et les jeunes homes que l’idéologie transgenriste convainc qu’iels sont « né-es dans la mauvais corps ».

On devine de quel personnage de BD s’inspire leur slogan solipsiste…

6 réflexions sur “Pour Amnesty International, un homme est une femme si bon lui semble

  1. Mais qu’attendent-ils pour étendre ça à toutes les caractéristiques biologiques ?

    Je veux bénéficier des quotas pour les postes réservés aux minorités aux USA, parce que je me « sens » racisée, même si j’ai le physique type du Suédois moyen. D’ailleurs j’adore danser et manger du poulet yassa, ce qui montre bien que je ne peux être que noire.
    Je veux avoir la carte verte, parce que je me sens très vieille en réalité. D’ailleurs j’ai parfois mal au ventre signe que la vieillesse ne m’épargne pas. Ou au contraire, je veux avoir les réductions réservées aux enfants de moins de 12 ans, parce que j’ai 12 ans dans ma tête (en fonction de ce qui sera le plus avantageux, bien sûr).

    Comment est-ce possible de ne pas voir les conséquences logiques de leur raisonnement, appliqué à d’autres différences biologiques constatables (l’âge, le taux de mélanine qui entraîne des discriminations) ? si la réalité biologique se résume au ressenti, pourquoi ne pas appliquer le raisonnement à toutes ? Ah oui, parce que tout le monde se rendrait compte que c’est heu….disons pas réaliste.

    On peut apprendre de ce qui s’est passé pour les autres luttes ici : les Noirs américains n’ont pas eu à se défendre contre l’intrusion de blancs dans leurs mouvements, un jour ?
    Et qu’est-ce qu’ils ont fait : la non-mixité :
    https://www.franceculture.fr/societe/trois-exemples-historiques-de-non-mixite-choisie

    Les syndicalistes, les ouvriers acceptent-ils le patronat dans leurs réunions ? Non plus.

    C’est d’autant plus pervers que la réaction patriarcal du mouvement trans (et peut-être le lobby des chirurgiens et vendeurs d’hormones) place devant lui, et face aux féministes, des personnes en réelle souffrance : les personnes trans.
    Mais si leur souffrance n’est pas à discuter, doit-elle pour autant justifier la mise en danger d’autres personnes en souffrance : les femmes, et parmi elles les plus vulnérables, les prisonnières, les réfugiées, celles contraintes de fréquenter les foyers…
    C’est peut-être pour ça que les libfem ont dû mal à voir le problème : elles ne s’imaginent pas une seconde dans la peau d’une prisonnière contrainte de partager sa cellule avec un homme persuadé d’être une femme.

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    • Bien d’accord, sauf pour un rappel historique. Si « les Noirs américains n’ont pas eu à se défendre contre l’intrusion de blancs ***dans leurs mouvements*** », ils ont tout de même vu interdire dans la société générale, à l’initiative d’un Blanc, les mesures de discrimination positive (des quotas) adoptées volontairement dans certaines facultés universitaires très sollicitées. Ces établissements avaient tenté de réserver d’office un certain nombre de places aux candidats méritants issus de minorités ethniques.
      (Source: https://en.wikipedia.org/wiki/Regents_of_the_Univ._of_Cal._v._Bakke)

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  2. Et si je me prends pour Napoléon Bonaparte et que vais le dire à mon médecin ?
    Vous croyez qu’il ne va pas m’envoyer fissa en HP avec camisole de force ?

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  3. amnesty international revendiquait il y a quelques années la légalisation du proxénétisme et du clientélisme de la prostitution. C’est à se demander dans quels genres de réseaux douteux baignent ces ong pour adopter des positions aussi extrémistes. Selon la sociologue Christine Delphy, l’association « médecins du monde » est aussi gangrénée par le proxénétisme.

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    • « amnesty international revendiquait il y a quelques années la légalisation du proxénétisme et du clientélisme de la prostitution » Ils le font encore, hélas, et pèsent très lourd sur des instances comme ONU-FEMMES.

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